APOCALYPSE NOW…que faire ? Résister !

La pandémie nous a-t-elle enfermés dans une impasse, précipités dans un trou sans fond ? De plus en plus de voix se font entendre, qui dénoncent la dictature sanitaire et ses rouages – comme je l’ai fait ici depuis 15 mois. Une société de défiance et de méfiance dont les individus s’évitent, ne réfléchissent plus, mais se laissent mener aveuglément par la peur – la frousse, la trouille. Enfermés, isolés, ne communiquant plus que virtuellement. Nos libertés fondamentales, acquises depuis 1789, sans cesse bafouées avec le consentement des citoyens : droit de circuler, droit de commercer, droit de se rencontrer, droit de manifester. À quoi bon ressasser tout cela ? La pandémie va laisser des traces profondes, notre société ne sera jamais plus la même qu’avant. Comment réagir et non plus subir, redresser la tête et non la courber ? Comment survivre ?

Résister physiquement

Une certitude : il n’y aura pas de mouvements de foule pour contester l’absurdité de certaines mesures ‘’obligatoires’’, dont on sait qu’elles ne servent à rien – qu’à mettre notre économie à genoux et nos libertés au placard. La chape de peur collective qui s’est abattue début 2020 sur notre société rend impossible toute prise de conscience collective. Pour protester contre la dictature sanitaire on ne verra pas de manifestations géantes comme celle de l’école libre (juin 1984) ou du mariage pour tous (novembre 2012). Opposants ou simplement mal à l’aise, les gens qui se rendent compte que « quelque chose ne va pas » restent à ce jour enfermés dans leur silence et n’osent pas désobéir.

Je suis le seul, de ma petite ville à circuler sans masque dans les rues dépeuplées. Je n’ai jamais rempli d’attestation de sortie, jamais respecté les limitations de distance. Au début, quand la police m’a interpellé, j’ai refusé de lui donner mes papiers et elle est repartie bredouille. Circulant récemment en voiture loin de chez moi, j’ai constaté qu’il n’y a pas de contrôles sur les routes : ce n’est plus nécessaire, la peur tient lieu aux Français de gendarmes. Inutile de les déployer aux ronds-points, quelle économie !

Attitude de rébellion enfantine ? Mais on nous traite comme des enfants. Dérisoire ? Sûrement.  Ridicule ? Peut-être. J’y vois plutôt une désobéissance civique ouverte, assumée, sans danger pour personne (1). Pour l’instant cette forme de désobéissance individuelle est la seule action de protestation à notre portée.

Résister mentalement

Ne plus écouter les ‘’spécialistes’’ qui défilent sur nos écrans jour et nuit, et les journaleux qui les commentent à l’infini. Se méfier particulièrement des plus dangereux, les prévisionnistes qui nous ont assommés à longueur d’épidémie de prévisions catastrophistes annonçant la fin du monde. Qu’on se souvienne avoir entendu « La situation n’est plus inquiétante, elle est terrorisante ! » (2). Ou bien : « Les prévisions épidémiques sont apocalyptiques » (3). Ou encore « Vous êtes prévenus, un tsunami arrive droit sur nous ! » (4).  Ces spécialistes de l’infox ont amplifié un mal déjà très présent dans les pays riches : l’aversion du risque, le Principe de Précaution érigé en valeur suprême. On préfère obliger toute la population d’une partie du monde à vivre comme des zombies, plutôt que de courir le risque de voir quelques-uns (5) mourir du coronavirus.

Bref, essayer de rester libre dans sa tête au milieu de la lessiveuse à cerveaux. Comme nos ancêtres les Gaulois, ne craindre qu’une chose : « Que le ciel nous tombe dessus ».

Résister spirituellement

Le ciel, justement.

Il y a « ceux qui n’y croient pas » et pour qui tout est difficile, parce que rien ne mène à rien qu’à la violence, au chaos et à la catastrophe. Il y a « ceux qui y croient » et reçoivent leur croyance d’une religion (christianismes, judaïsme, islams) ou d’une philosophie (bouddhisme, taoïsme). Parmi ceux-là, quelques-un(e)s ont été plus loin et fait l’expérience du divin. Ils affirment qu’ils « savent » plus qu’ils ne croient : vivant dans la « nuit obscure », ils entrevoient par moments la présence divine au sein des ténèbres. Et cette expérience est tellement forte qu’elle donne sens à chacun des moments de leur vie, joyeux ou douloureux, et à leur mort.

C’est à l’école de ceux-là qu’une crise aussi profonde que celle du coronavirus peut nous conduire. Ils nous apprendront à sortir par le haut de tous les tunnels, de toutes les impasses. À n’avoir jamais plus peur ni de la maladie, ni de la mort.

Résister spirituellement, c’est la seule façon d’affronter le « monde d’après » la pandémie, un monde d’apocalypses prévisibles et annoncées. Résister spirituellement, c’est ne plus être inquiet pour l’avenir, même s’il paraît sombre. C’est ne plus craindre que de nos faiblesses, et apprendre à les transformer en forces.

Chacun fait ce qu’il peut, comme il peut. Au stade où nous en sommes, après quinze mois de souffrances quotidiennes et d’angoisses pour le futur, nous tenterons de nous tourner désormais non plus vers les murs de l’impasse, mais vers la fenêtre qui ouvre sur cet ‘’ailleurs’’ chéri par les mystiques. Sans aucun plan d’ensemble, au jour le jour. Cherchant seulement à « entendre les pas de Dieu qui se promène dans son jardin à la brise du soir » (Gn 3).

                                                                       M.B., 2 mai 2021
  • À condition évidemment de respecter les deux seuls gestes utiles et indispensables : être masqué dans un lieu public fermé, garder une distance avec autrui. Et bien sûr, se faire vacciner le plus vite possible.
  • Dr Bruno Riou, directeur de crise de l’AP-HP
  • Dominique Costagliola, épidémiologiste.
  • Dr Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré
  • Rappelons que la létalité du coronavirus (le nombre de morts parmi les personnes contaminées) est inférieure à 1%.

17 réflexions au sujet de « APOCALYPSE NOW…que faire ? Résister ! »

  1. KANES

    La peur est tjrs mauvais compagnon, mais bien pratique pour certains…
    La Nature fait ce qu’il faut faire : réguler la croissance démographique pour que la Vie puisse continuer.
    Le(s) vaccin(s) ne peut / peuvent pas combattre efficacement un virus mutant.
    La vie aurait dû continuer normalement ; problèmes économiques, sociaux et psychologiques auraient été évités. Le dommage est fait : la peur de l’autre !
    La Vie continue après la Mort ; nous ne sommes que de passage pour nous élever en conscience.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Merci. Précision : si un virus mute après que sa souche ait été prélevée pour faire un vaccin, ce vaccin n’est pas inefficace sur le virus muté. Quand un virus mute, ce sont quelques fils d’ADN/ARN qui changent de structure. L’empreinte vaccinale est suffisante pour atténuer les effets du virus muté, comme on le voit chaque année pour le virus grippal.
      Consultation gratuite. M.B.

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  2. Cil

    Bonsoir
    Et bien n ‘étant pas scientifique je me fie aux professeurs : Perrone , Raoult , Montagné , Toussaint et aux personnes qualifiés comme les docteurs en pharmacie Mr Fourtillan, Thal Shaller et Louis Fouché docteur avisé.
    On me fustige du regard quand je ne mets pas de masque , on me gronde on m’ordonne de le mettre sinon je suis un danger pour les autres.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Vous pouvez ajouter à votre collection Michel Benoit, docteur en pharmacie et biologiste
      Vous n’êtes un danger pour les autres que si vous êtes sans masque dans un espace fermé ou au milieu d’un groupe à l’extérieur. Sinon, en respectant la distance d’au moins 1 mètre, vous n’êtes un danger que pour la dictature sanitaire que vous refusez.
      Laissez les masqués vous fustiger du regard, et si l’on vous gronde continuez votre chemin. Il faut savoir résister paisiblement à la folie ambiante.
      M.B.

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  3. LECOCQ Jean François

    Merci Michel pour ce bel article qui offre des pistes pour « l’après »… Votre liberté de ton et vos analyses permettent à un certain nombre de s’y retrouver.Ce qui m’a marqué dans cette « pandémie » : un manque total de recul ( c’est pourquoi je ne suis pas d’accord avec les pseudos vaccins), un manque de discernement évident des élus et de ceux qui les suivent aveuglement malgré la réalité des chiffres et des événements : nous avons bien basculé dans la « pensée unique » où certains comme les naturopathes, n’ont pas le droit de s’exprimer. Vos articles précédents sur le sujet étaient très bien faits et pour tout cela, encore merci !

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Les 4 vaccins disponibles en Europe ont été testés par les autorités sanitaires, approuvés (elles ne l’auraient pas fait s’il y avait un risque supérieur à la normale) et déjà injectés sans problèmes à des millions de personnes. La désinformation fonctionne à plein : ce matin à la radio j’ai entendu M. Dupont-Aignan dire que « évidemment, ces vaccins ne sont pas fiables ». De quoi se mêle-t-il ? Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres de la « soupe » de (dés)information dans laquelle nous baignons.
      M.B.

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    2. LECOCQ Jean François

      Je me garderai bien d’être aussi tranché que vous, en particulier sur l’histoire des vaccins. Les politiques et le monde médical, partagé, s’expriment (tout le monde n’est pas à la même enseigne malheureusement) permettant à chacun de se forger une opinion. Pourquoi un avis contraire au nôtre serait-il une désinformation ? Et pourquoi se « vacciner » avec une letalité inférieure à 1 comme vous le rappelez fort justement ?

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      1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

        1- Je me permets d’être affirmatif parce que je suis biologiste de (1re) formation, élève de Jacques MONOD qui nous faisait son cours en 1962 sur l’ARN devenu depuis un vaccin
        2- L’épais brouillard créé par les médias & les politiques à chaque épisode de la pandémie ne permet pas à « chacun de se forger une opinion » : plus personne ne sait que croire, la désinformation fonctionne à plein.
        3- Il est urgent de se vacciner (a) pour que diminue le taux de contamination (b) pour permettre, psychologiquement, le retour à la « normale ». Sans quoi on va vivre comme des zombies pendant des décennies !
        M.B.

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  4. Jean-Marie GLÄNTZLEN

    Cher Michel
    Au début vous avez raison, et je ne vous imaginez pas si judicieusement « rebelle »

    Mais vous terminez très mal.

    Il ne faut surtout pas devenir l’ « objet » d’une expérimentation génétique a d fortiori si on se prémunit depuis longtemps

    Prévention vaut mieux que vaccination.

    Il y aura des effets secondaires qui ne seront visibles que des années après parfois et on ne pensera même probablement pas à faire le lien

    Les inféodés à Klaus et Bill nous mentent. Les chiffres qui plus est globaux souvent, sont faux.
    Fréquentez donc Bonsens ,Réinfocovid, Réaction19, Laissons les médecins prescrire, Alexandra HENRION-CAUDE, etc. Même s’ils ne sont pas tous d’accord ensemble sur tout.

    Hélas les dégâts, loin d’être tous déjà visibles sont irréparables

    Répondre
    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Parce que je termine sur la nécessité de se faire vacciner ? Comme des millions de personnes déjà, avec pas + d’effets secondaires que les autres vaccins. La polio, rougeole, etc. ont été éradiqués par le vaccin. Va-t-on se retrouver dans un siècle en train de passer de la 2003e vague de coronavirus à 2004e, etc. ?
      M.B.

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  5. Tabourde

    Pardonnez moi, hélas les millions de morts ne peuvent pas vous lire. Le salut collectif passe par une certaine discipline, vous avez peut-être le droit de préférer l’infection à la privation de votre liberté, mais vous n’avez pas le droit de vous faire le vecteur de la pandémie.
    Je suis désolé, vous nous aviez habitué à plus de discernement, mais je vous garde tout mon respect.

    Répondre
    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      je savais que cet article me vaudrait les foudres de lecteurs ayant lu un peu vite. Je ne « préfère pas l’infection à la privation de la liberté », je ne suis pas « un vecteur de la pandémie ». Je respecte (c’est écrit) les deux seuls gestes barrières indispensables & nécessaires, et suis pour le vaccin (c’est écrit). Mais je m’élève contre une forme de dictature de la peur qui prend prétexte de l’épidémie pour supprimer nos libertés. Nuance, vous avez dit nuance ?
      Amicalement, M.B.

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      1. Gris

        Ne tombons pas dans les détails des pour et contre, dans cette dualité qui font de nous des êtres binaires qui seront habilement remplacés parles automates bien plus performants par les technologie de l4IA et des supports quantiques à venir. Alors pour le vaccin chacun doit savoir quel est son propre rapport risque / bénéfice, MAIS sachant que répondre à une invitation à la théorique immunité collective d’un virus ARN mutant, il impose aussi à son prochain (devenu très distant certes!) une obligation sociétale d’un passeport sanitaire pour se déplacer. La liberté des uns s’arrête ou commence celle des autres …
        Pour « sauver » l’homme , bien sûr il y a cet aspect spirituel qui fait que nous résisterons à la pression de l’état policier, dernier refuge régalien pour se protéger lui-même (Depuis Benalla les exemples ne manquent pas chez notre représentant en chef !).
        Cher Michel, si je m’aventure à cette proximité d’un homme qui marche seul dans la rue sans masque 😉 , si les gens ont peur, la trouille même, c’est aussi le reflet de leur faiblesse spirituelle, leur manque de considération d’autrui car ils AIMENT leur drame. Que ce soit le petit malin qui pensera toujours s’en sortir parce qu’il a sa petite maison te son jardin survivaliste, ou bien le nanti qui sera au dessus de la mêlée ou encore le pauvre qui se plaindra de son sort mais sera pris complètement en charge par la médecine (c’est réconfortant pour certains qui vont prendre leur température auprès du médecin comme on tête encore maman),tous ont ou auront une bonne raison de courber la tête, l’échine et de s’agenouiller devant la guillotine. Petit à petit l’ordre s’inscrit ….
        Alors bien sûr je ne peux que suivre des chemins parallèles à notre individuation, qui n’est pas un individualisme car nous sommes des êtres avant tout sociaux – en nature. Et sociaux nous le resterons et le développerons encore plus si l’on comprend ce que nous dit Alain Guillo dans son livre « A l’adresse de ceux qui cherchent » au sujet de l’état de nos âmes (après la mort, donc lol).
        Et, bon sang, en tant qu’être sociaux où le concept même de distanciation est un affront, il faut voir en face le cauchemar que nous présente une clique de fada (et je suis poli pour éviter des termes psychanalytiques qui déborderaient vite sur des noms d’oiseaux) pour noter avenir te dont l’Europe est particulièrement bien placé tel un fer de lance qui n’est pas celui de l’archange Michel !!!
        Commission Européenne et Davos sont pas des rêveries de complotistes : regarder absolument De Villers dans cette vidéo (peu importe qu’on aime ou pas le bonhomme on s’en fout). Il ne s’agit pas de partis politiques de droite ou de gauche, d’être conservateurs ou réformistes, il s’agit de l’avenir de nos enfants, de la transformation psychotique même de l’Homme :

        https://www.youtube.com/watch?v=xniigx1rADI&t=2217s

        Le vrai drame, qui veut dire action, c’est de ne pas agir.

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        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          Merci. Juste 2 petites remarques :
          1- Mon maître Jacques Monod nous a fait cours en 1961/62 pendant tout un semestre sur l’ADN et sur l’ARN messager qu’il venait de découvrir (–> prix Nobel). . Je suis surpris de voir quantité de gens parler de l’ARN messager en experts, semblant savoir la façon dont s’effectue la réplication d’un ARN à l’autre, le transfert d’informations par nucléotides interposés, l’empreinte vaccinale et la façon dont elle peut/ne peut pas se former, etc. etc. Tant d’experts biochimistes en France, tout soudainement, quelle bonne nouvelle !
          2- Agir, oui, mais COMMENT pour voue et moi, petits soldats de base ?
          M.B.

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          1. Gris

            Petite réponse plaisante :
            1. j’ai connu Rémy Chauvin et indirectement Pierre-Paul Grassé qui nous parlait des propriétés autocatalytiques de l’ARN. Pourquoi ? Car le dogme du message ADN->ARN->Protéine est pratique pour l’étude expérimentale mais n’a pas d’exclusivité dans le fonctionnement complexe d’une voire des cellules.
            Mon prof de génétique était F. Lints (Belge), dernier élève de Morgan, ceci pour la petite référence « d’autorité » lol. Et il nous parlais de la complexité de la mise en oeuvre de la duplication de l’ADN,avec entre autre sa fragmentation pour libérer l’expression génétique , la transcription en ARNm et tout le phénomène d’épissage.C’est ici que des transcriptase inverse, dont le fonctionnement se complexifie car la formation d’une protéine dans son aspect quaternaire (configuration spatiale) détermine son activité. Et cette configuraton dépend de son environnement moléculaire. Et là c’est, pour faire court, toute la différence entre l’expérimentation in vitro et in vivo…LE milieu fait tout disait Claude Bernard. Bref, la science est une succession d’ajustement et de remise en question, beau job tant qu’on croit pas avoir raison ! Comme dit Raoult le temps de la science n’est pas celui des médias.
            2. Je suis un petit soldat comme vous et peut regarder comment se forme une troupe. Ainsi quand je parle que nous sommes des êtres sociaux , je veux dire que nos actions opèrent dans un cadre collectif (pour employer une terminologie militaire). Des gens d’active, chacun dans leurs domaines respectifs, doivent s’organiser : d’associations en collectifs puis en représentant. Nous ne sommes plus dans la turpitude, mais nous pouvons inspirer les actionnaires du futur à rallier des hommes qui sauront se démarquer par l’honnêteté de leur discours (discernement) et par le courage d’affronter la pensée dominante par des arguments pertinents (logique de la raison). Nous sommes un bois « aggloméré », le temps des chênes est révolu devant ceux qui nous enchaînent. Chacun diffuse une information, certains se retrouveront dans le bain des décisions pour voter, se révolter, résister, prendre en main et surtout se prendre main le moment voulu. Et ce moment, si le hasard n’existe pas, il est possible de le provoquer. Le concept grec qui appelle ce moment est celui de Kaïros, le moment opportun, qui peut faire la faille dans le plan linéaire de Chronos. Que ceux qui sont près d’Aïon prient pour que cet éclair surgisse. Et que tous, nous petits soldats, portons main forte à ceux qui émergerons de cette tempête virale. Confiance.

            Répondre
            1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              1- Vous confirmez mon agacement de voir tant de gens avoir un avis définitif sur un vaccin par ARNt. Le mécanisme est tellement complexe ! Quand on ne le connaît pas (99,99% des gens) on n’en dit rien et on fait confiance à ceux qui connaissent
              2- Oui, mais vous voyez bien que rien ni personne n’émerge. Qui va permettre à l’aggloméré de s’agglomérer ? Je me sens totalement impuissant devant la puissance de la (non)Pensée Unique qui domine & écrase tout.
              M.B.

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