VACCIN POUR LES NULS (et corona-circus)

Nous avons vu comment fonctionne le corona-vaccin le plus répandu en France (1) : une molécule biologique, l’ARN messager, va chercher ‘’l’empreinte’’ – ou le moulage, si vous voulez – des protéines d’un coronavirus et transfère cette empreinte à l’intérieur des cellules de notre système immunitaire, sans affecter leur noyau c’est-à-dire sans modifier notre propre génome. Ces cellules immunitaires réceptionnent l’empreinte transmise et à partir d’elle, produisent l’anticorps qui va neutraliser ce virus-là quand il pénètrera dans notre organisme

I. Peut-on être contaminé quand on est vacciné ?

Si le système immunitaire est ‘’en forme’’ (2), dès qu’il a reçu l’empreinte il produit suffisamment d’anticorps pour neutraliser l’invasion du virus. La protection qu’il offre alors est totale, à 100 %, et c’est le cas de 95 % des personnes vaccinée à l’ARN messager. Mais chez les personnes malades par ailleurs ou immunodépressives, les obèses, les vieux, le système immunitaire est moins performant. Si ceux-là rencontrent le virus, ils vont développer des symptômes bénins. Le vaccin empêchera l’apparition de formes graves et évitera l’hospitalisation. Pourquoi ? Parce que ces personnes ont produit des anticorps, mais en quantité insuffisante : elles sont partiellement protégées et guériront en restant chez elles. Cela concerne 5 % des vaccinés, c’est-à-dire que le vaccin est totalement efficace dans 95 % des cas, ce qui est remarquable.

Enfin, on constate que 100 % des personnes admises en réanimation n’ont pas été vaccinées (3).

II. Quand on est vacciné, peut-on être contagieux ?

On ne dispose pas encore d’études épidémiologiques exhaustives chiffrées, mais on a remarqué que le virus transmis par une personne déjà vaccinée et l’ayant quand même contacté, ce virus-là est atténué, moins agressif que le virus à l’état natif. Comme pour les 5 % de personnes qui ne sont pas protégées à 100 %, cette contagion – si elle a lieu – ne provoque pas de pathologies graves avec hospitalisation / réanimation (3).

III. Qu’est-ce qu’un mutant (variant) ?

Certains virus (grippe, corona) évoluent et mutent constamment. On l’a vu, ces virus sont des pelotes d’ADN ou d’ARN liées à des protéines qui se trouvent à leur surface et sont donc vulnérables. La séquence (l’ordre) selon laquelle ces éléments sont disposés les uns à la suite des autres détermine l’identité et le comportement d’un virus : si une de ces séquences est altérée ou modifiée, le virus mute. J’ai comparé ces séquences à des textes écrits avec des lettres et des mots qui forment des phrases. Si, dans un texte, on change l’emplacement de quelques lettres ou de quelques mots, on pourra encore comprendre son sens général, mais il sera moins précis et on le lira moins facilement.

Si la mutation ne touche que quelques séquences du virus-souche, son comportement changera peu et il restera plus ou moins sensible au vaccin développé à partir de la souche. Mais si les modifications se suivent en cascade, les mutants s’éloignent de plus en plus de leur souche et on finit par obtenir un nouveau virus, avec un nouveau comportement : ce mutant ne réagira plus au vaccin puisque l’empreinte prise sur la souche ne correspond plus à sa structure. Le moulage ne ‘’colle’’ plus à ses protéines.

La seule façon d’éviter l’apparition de mutants inconnus et de plus en plus dangereux, c’est de pratiquer devant le coronavirus la politique de la ’’terre brûlée’’ : qu’il ne trouve plus en face de lui aucun organisme non-vacciné dans lequel il pourrait se développer et muter. C‘est la vaccination générale.

IV. Quand on est vacciné, est-on protégé contre les mutants (variants) ?

La réponse se trouve au § précédent. Exemple, la grippe : chaque année pendant la mousson de juin, on va chercher le dernier mutant du virus grippal en Asie, où il est endémique. Le vaccin fabriqué à partir de ce mutant est disponible en Europe début novembre. Si, entre le moment où on a prélevé le mutant en Asie et le moment où on l’injecte en Europe, il a encore muté, et si une personne vaccinée contacte ce nouveau mutant, elle peut développer une forme atténuée de la grippe – parce que le vaccin s’adapte moins bien aux protéines du virus depuis sa dernière mutation. Les gens disent « J’ai été vacciné, et pourtant j’ai attrapé la grippe ! » : oui, mais une forme bénigne, non mortelle, qui va vite guérir.

Vu l’instabilité du Coronavirus, il est vraisemblable que, comme pour la grippe, on devra recevoir chaque année un vaccin fabriqué avec le mutant le plus récent.

V. On dit que le ‘’variant delta’’ est plus contagieux ?

Dit comme ça, c’est faux. Le mode de contagion des variants est toujours le même : des gouttelettes de mucus qui sortent d’un poumon infecté pour se loger dans un poumon sain. Le variant delta ne possède pas des petites jambes plus fortes que les autres, qui lui permettraient de sauter à la figure des gens. Il n’est pas « plus contagieux », mais il est 10 ou 20 fois plus agressif. Les précautions à prendre pour s’en protéger sont les mêmes : vaccination – et sinon, confinement + gestes barrières.

VI. Effets secondaires

« Comment expliquez-vous le nombre important de déclarations d’effets secondaires après la vaccination ? » Dans l’article précédent, on a vu qu’un vaccin est toujours l’introduction, dans un organisme, d’un corps étranger (antigène) pour provoquer un choc sur le système immunitaire et l’obliger à produire des anticorps. Quand le corps étranger est une bactérie, un virus ou une partie de virus atténué, le choc est parfois violent. Avec un vaccin à ARN messager, les effets secondaires sont plus rares et en général bénins. N’oubliez jamais que le nombre d’effets secondaires déclarés est à rapporter au nombre de personnes vaccinées. C’est le fameux « rapport  bénéfice / risque ».

VII. Y a-t-il un risque à se faire vacciner ?

Aucun vaccin n’est sans risque puisqu’il repose toujours sur une agression du système immunitaire. Mais ce risque est de mieux en mieux contrôlé, les accidents de plus en plus rares et rapidement traités. Il y en a quand même quelques-uns. En cas d’épidémie fulgurante, mortelle et mondiale comme celle du coronavirus, la responsabilité des décideurs est d’évaluer le rapport bénéfice / risque.

Le raisonnement est simple : entre un accident pour un million de personnes vaccinées, d’une part. Et un million de personnes vaccinées, hors d’atteinte du virus, au prix d’un accident, d’autre part, le choix moral a été fait depuis Jenner et Pasteur : on vaccine. Mais ce que ces pionniers de la vaccination n’ont pas connu, c’est une pandémie mondiale qui modifie complètement les termes du rapport bénéfice / risque. À ce jour, la moitié de la population mondiale a été vaccinée. Au prix de combien d’accidents ? On n’a pas de chiffre global pour la planète, mais si le nombre d’accidents dépassait le chiffre tolérable, cela se saurait et se dirait haut et fort (4).

Quel est ce « chiffre tolérable » ? L’irruption récente dans nos mentalités, puis l’inscription dans la Constitution Française du Principe de Précaution fausse l’évaluation du rapport bénéfice / risque. On ne supporte plus de courir aucun risque. Or l’actuelle pandémie nous rappelle qu’il n’y a pas de risque zéro. Appliqué à la lettre sur une situation-limite comme celle que nous vivons, le Principe de Précaution serait mortel. Si on s’interdisait de vacciner pour éviter tout accident, la planète serait paralysée et livrée sans défense aux appétits gloutons d’un virus qui, quant à lui, ne connaît que le principe d’agressivité maximale

VIII. « Je refuse de servir de cobaye à un vaccin qui n’est pas au point ! »

La mise au point d’un vaccin obéit à un protocole mondialement respecté. Il s’agit d’abord de vérifier l’innocuité du produit : qu’il n’est pas dangereux, que ses effets secondaires sont tolérables, bref qu’il répond aux normes de sécurité. Puis son efficacité : qu’il provoque la bonne réaction immunitaire, qu’il est efficace à plus de 50 %. Enfin sa posologie, la quantité à injecter pour obtenir l’immunité sans accident. Ce protocole suit 3 phases : phase I, on commence par tester ces trois critères sur un petit groupe d’une centaine de volontaires. Phase II, on augmente la taille du groupe à quelques milliers de volontaires. Si la phase II est satisfaisante, on étend les tests de sécurité et d’efficacité à plusieurs dizaines de milliers de volontaires en veillant à mélanger les sexes, l’âge et les origines ethniques.

Il est vrai que Moderna puis Pfizer ont commercialisé leur vaccin avant la fin de la phase III. Ils ont décidé qu’étant donnée la rapidité fulgurante de la diffusion du virus et les millions de morts déjà comptabilisés, le rapport bénéfice / risque penchait vers une diffusion du vaccin sans attendre la conclusion de la phase III. Aujourd’hui, plusieurs centaines de millions de doses ont été injectées sans problème, ce qui rend la poursuite de la phase III inutile.

Je sais que ce qui précède ne convaincra pas la minorité des anti-vax fanatiques. Ceux-là rejettent en bloc la vaccination sans se préoccuper de raison ni de science. Ils appartiennent à une contre-culture, obéissent à des motifs idéologiques qui n’ont rien à voir avec tel ou tel vaccin. Leur agressivité s’alimente au refus de tout ce que décident les politiques, leur violence verbale et leurs menaces augmentent de jour en jour jusqu’à atteindre des niveaux insupportables en démocratie.

En revanche, j’espère avoir aidé les indécis, profondément troublés (et à juste titre) par la valse des informations contradictoires, incomplètes, parfois mensongères, dans laquelle médias et politiques nous font danser depuis 1 an ½.

Pour ces indécis, voici une conclusion :

                                                      Personne ne sera en sécurité

                                          tant que le monde entier ne sera pas vacciné

                                                                              M.B., 21 juillet 2021
Si ces 2 articles vous ont paru utiles, faites-les circuler sur les réseaux sociaux !
(1) Vaccin Pfizer ou Moderna – start-up qui a été rachetée par un autre labo américain. Mis au point et développés en étroite collaboration par les deux équipes, les deux vaccins sont strictement équivalents.
(2) L’enfant nouveau-né possède le système immunitaire de sa mère. Dans les premières années de sa vie, il va développer son propre système qui arrive à maturité entre 5 et 10 ans.
(3) Statistiques de l’APHP, indépendantes et fiables.
(4) Ce qui s’est produit pour le vaccin d’Oxford, qui a été abandonné.

41 réflexions au sujet de « VACCIN POUR LES NULS (et corona-circus) »

  1. peter

    TRIBUNE – Je vous adresse ce courrier en tant que citoyen, mais surtout en tant que chimiste, biochimiste et chercheur dans le domaine de la santé (maladies inflammatoires : cardiologie, cancers et aussi immunitaires) depuis plus de 25 ans (France, Canada, USA) et conseiller scientifique depuis 7 ans (sans conflits d’intérêts).

    Ma lettre se veut essentiellement informative sur ce virus, sa gravité et les moyens de sortir de cette crise, basés sur la science. Je pense hélas que c’est d’informations scientifiques (vulgarisées, mais précises) justes et indépendantes sur ce virus dont les élus manquent pour établir une politique de santé adaptée. Il n’y a aucune provocation dans cette lettre (et j’imagine que vous devez en recevoir) mais en écoutant les séances de l’Assemblée hier, j’ai compris à quel point c’était nécessaire.

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    Je n’ai rien à vous apprendre dans votre domaine, mais je souhaite sincèrement que vous ayez la patience et la curiosité de lire ces quelques pages ou au moins de les parcourir, car sans cette compréhension et ce recul, ce pays continuera de s’enliser dans des décisions inefficaces. Le consentement libre et éclairé des Français est un élément clé de droit et passe par une prise de décision au Sénat en information complète d’où l’objet de cette lettre.

    J’ai toujours pensé de plus et depuis très jeune, je le dis très sincèrement, que les sénateurs étaient les gardiens de la démocratie et ceux qui avaient le plus de recul dans le monde politique, alors c’est avec cet esprit que je m’adresse à vous.

    Sur le virus et sa dangerosité

    Ce coronavirus SARS-CoV2 en particulier, mais aussi le MERS et le SARS-CoV1, sont plus virulents que les 3000 coronavirus connus à ce jour. On pourrait discuter ici du pourquoi entre proximité croissante hommes/animaux et manipulations en laboratoire (gain de fonction) pour développer des vaccins ainsi que des armes biologiques (vous ne pouvez ignorer que cela existe) mais je n’évoquerai pas ce point de l’origine ici.

    Il se trouve que finalement la dangerosité de ces trois coronavirus est réelle, je ne vais pas la nier, et cela vient de trois ensembles de mutations. Les raisons biologiques de la particularité du SARS-CoV2 (et dans une très proche mesure du MERS et SARS-CoV1, qui auraient pu presque déclencher une pandémie), peuvent être exprimées en une phrase :

    Ce coronavirus résiste particulièrement bien à certaines de nos défenses immunitaires clés, il a une diffusion grandement facilitée par rapport au MERS et SARS-CoV1 grâce à une mutation unique sur la protéine Spike et enfin il a une forte capacité à dérégler notre immunité et induire rapidement une inflammation dans notre organisme par rapport aux coronavirus normaux (responsables des rhumes par ex).

    L’explication en trois points (c’est là où je me permets de vous demander un peu de patience !) avant de venir rapidement aux solutions (mais si on ne comprend pas ce virus, on ne pourra pas reprendre une vie normale). La particularité de ce virus par rapport aux coronavirus classique vient de :

    1/ Un blocage de la fabrication d’interféron dans notre organisme : l’interféron est une première ligne de défense capitale contre les infections virales qui déclenche normalement une réponse immunitaire adaptative prolongée contre les virus (ceci est dû aux mutations sur les protéines M et ORFs).

    2/ Une diffusion du virus beaucoup plus facile dans l’organisme par une beaucoup plus grande possibilité pour le virus de se lier à son récepteur (le fameux ACE2, vous avez dû en entendre parler) et donc d’infecter les cellules (et ce à peu près de partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, organes génitaux masculins et reins).

    Ceci est dû aux mutations sur la fameuse protéine Spike ou de pointe (site des furines) : ce point est clé, car cette mutation est unique dans les 3000 coronavirus connus à ce jour et même absent chez MERS Et SARS-CoV1 qui n’ont donc pas déclenché de pandémie ! Cette mutation est clé aussi parce qu’elle permet à différents enzymes de notre organisme de faciliter cette infection, des enzymes qui sont élevées chez les hypertendus, les diabétiques, les personnes âgées.

    En plus de cette diffusion facilitée, le problème de l’interaction entre le virus et ce récepteur ACE2, c’est que cette protéine ACE2 est très utile dans notre organisme pour réguler la pression sanguine, mais aussi elle joue un grand rôle protecteur contre l’inflammation (et d’autres fonctions positives). En étant sollicitée/occupée par le virus elle ne joue plus son rôle antiinflammatoire essentiel au profit d’une autre protéine avec laquelle elle est en balance, l’ACE qui est elle pro-inflammatoire ! Notre « malchance » est donc que le récepteur du virus est une protéine clé pour notre organisme !

    3/ Un dérèglement immunitaire et une réaction inflammatoire beaucoup plus forte contribuant grandement voire majoritairement au fameux orage des cytokines et aussi aux phénomènes de coagulation observés dans les formes le plus graves et les morts en réaction à la protéine portant l’ARN du virus, la protéine N (mutation sur cette protéine N vs coronavirus du rhume). Ceci est observé aussi dans le cas du MERS et SARS-CoV1 qui étaient aussi mortels mais moins contaminant car une protéine spike moins dangereuse (cf point 2). Cette réaction immunitaire qui conduit à l’inflammation et la coagulation est produite par le système immunitaire inné et « saute » un peu l’immunité acquise (celle liée aux vaccins).

    La figure ci-dessous montre la localisation de ces protéines clés, on a un peu trop parlé de la protéine Spike même si elle est une des clés :

    virus.jpg

    Les différentes protéines du virus

    Finalement, on peut comprendre pourquoi ce coronavirus a ce potentiel contagieux et inflammatoire voire mortel chez l’homme. On estime aujourd’hui que sa létalité (la mortalité chez les gens qui contractent le virus) moyenne dans le monde est situé entre 0.5 et 1% contre 0.1% pour la grippe. C’est plus qu’une grippette en effet. Par contre, ce n’est effectivement pas la peste qui a eu une létalité de 30 à 60 %.

    Ce qu’il est important de retenir, même si on prononce trop souvent les mots de « virus », d’ « antiviraux », c’est que :

    Il est très difficile d’empêcher la diffusion de ce virus
    Le virus déclenche une réaction immunitaire et inflammatoire (immuno-inflammatoire) qui peut tuer. Et donc il faudrait remplacer presque le terme de « maladie virale » pour le COVID-19 par « maladie immuno-inflammatoire induite par un virus ». Et insister beaucoup plus sur les thérapies anti-inflammatoires.

    Qu’est-ce que cela dit sur les moyens pour l’espèce humaine de faire face à ce virus ?

    1/ Sur l’immunité naturelle et collective :

    Ces mutations particulières du virus, dans le SARS-CoV2 original comme dans les variants, font qu’il va continuer à échapper à une partie de notre immunité.

    Cependant, on sait de la littérature que des anticorps déjà présents en réponse à des coronavirus (type rhume) par des infections antérieures ont fourni à un pourcentage important de la population une certaine immunité utile contre le SARS-CoV2 notamment chez les jeunes et très jeunes : c’est ce qu’on appelle l’immunité croisée.

    D’autre part, si des équipes ont observé que des personnes ont été infectés par deux variants différents de SARS-CoV2, en général, une première immunisation produit une bonne immunité contre les variants (on aurait dû tester plus les anticorps chez les gens avant de les vacciner, certains sont déjà protégés, si on met de côté le coût des tests qui aurait pu être améliorés).

    Donc je pense que cette immunité naturelle est clé (sans elle on ne serait pas là d’ailleurs, nous sommes assaillis et portons aussi en nous des milliers d’autres virus et bactéries) et nécessiterait d’être boostée ! Ceux qui l’ont fait n’ont pas contracté le virus ou ont fait des formes légères (c’est le cas de mes nombreuses personnes âgées avec des comorbidités de très nombreux médecins l’ont observé et des études le montrent). On parle ici notamment de vitamine D (qui interagit avec plus de 500 gènes), zinc, quercétine..

    Atteindre l’immunité collective serait possible, mais après combien de temps ? Difficile à dire. Et je comprends alors qu’on pense à l’aide des vaccins, mais cela nécessite des réflexions cruciales en termes de bénéfice/risque ainsi que de conséquences sur les libertés individuelles, mais je ne souhaite discuter ici que de science.

    2/ Sur les vaccins :

    Sur cette question précise qui nous implique tous en ce moment et qui sollicite déjà et va solliciter beaucoup de travail et de votre temps, il est essentiel de prendre un peu de recul et c’est évidemment un des buts de ma lettre vers vous.

    Sur le papier, bien sûr que la vaccination du plus grand nombre peut théoriquement contribuer à compléter l’immunité collective et à freiner l’épidémie.

    Dans la réalité, plusieurs problèmes se posent et je parle de problèmes que des scientifiques indépendants (et même ceux avec des conflits d’intérêts d’ailleurs !) ont identifiés :

    Premier point sur l’efficacité :
    Certains des plus grands spécialistes mondiaux des coronavirus ont déclaré qu’on ne vaccine pas contre les coronavirus et que les anticorps monoclonaux ne fonctionnent pas. A-t-on un vaccin contre les coronavirus du rhume ? En effet, c’est très compliqué de vacciner contre des virus à ARN par rapport aux virus très différents comme des vaccinations classiques infantiles.

    Même s’il mute moins que la grippe, vous voyez déjà qu’en Angleterre et en Israël des rapports très récents montrent que ces deux pays au taux de vaccinations très élevés (et sur un temps court) montrent une augmentation des cas du variant Delta chez les vaccinés aussi et observent que chez les hospitalisés les rapports s’équilibrent entre vaccinés et non vaccinés (contrairement à ce que répète M. Véran) et sont à peu près à 50/50 quand on dépasse 65 ans, c’est-à-dire la frange de population « cible » fragile du COVID ! J’espère que vous êtes au courant de ces données factuelles du Royaume-Uni et d’Israël qui sont essentielles pour la réflexion !

    Vous savez déjà que le vaccin protège mal de la contamination d’autres personnes : ceci est en rapport avec ce que j’ai cité plus haut sur la diffusion et réplication facile de ce virus. Il est du aussi à un phénomène appelé ADE (facilitation par les anticorps en français) où quand on a des anticorps défectueux ou pas assez compétents, les cellules immunitaires portant les anticorps contre le virus le reconnaissent, mais au lieu de le détruire vont l’« ingérer » et finalement contribuer à sa diffusion. Vous pourrez trouver ceci sur le Vidal en ligne en tapant ADE, Vidal ! Et ce phénomène se produit beaucoup plus fréquemment avec des vaccins qu’avec les anticorps produits lors d’une infection !

    Sur les formes graves, on observe une protection certes, mais comme je l’écrivais plus haut, regardez les rapports des pays ayant plus de recul : hélas, cela s’équilibre et cela est encore dû aux forces de ce virus : il échappe à l’immunité assez bien et surtout il induit très rapidement de l’inflammation qui tue les personnes fragiles et le vaccin n’immunise pas contre l’inflammation, seuls les traitements le font ! D’où le paragraphe qui suivra sur les traitements pour lequel aussi je sollicite votre attention, si j’ai encore l’opportunité et le plaisir de l’avoir jusqu’ici.

    Deuxième point sur la sécurité (safety) de ces vaccins :
    C’est là où les scientifiques les plus sérieux et désintéressés financièrement souhaitent vous alerter. Je parle ici des technologies expérimentales ARNm pour lesquelles on a très peu de recul à moyen et long terme. Pourquoi en France n‘a-t-on pas aidé plus à l’acceptation des vaccins classiques avec virus désactivés – type Sanofi ou vaccin chinois ? Dans le cadre de cette quasi-obligation, cette proposition devrait être permise aux Fançais, car ces vaccins sont beaucoup plus sûrs (avec les mêmes limites d’efficacité).
    Pour les risques, ils sont les suivants pour vaccins ARNm :

    – La production pendant des semaines, voire des mois de la protéine Spike par différents types de cellules et dans de très nombreux organes en plus des protéines Spike circulant dans le sang. Si vous avez lu le point 2/ au début de mon texte vous comprendrez qu’on envoie dans tout le corps (même dans le cerveau) une des deux molécules les plus toxiques du virus : la protéine Spike. Il n’est pas étonnant de retrouver les mêmes effets secondaires que ceux du COVID chez beaucoup de personnes !

    C’est logique. Je ne veux pas être catastrophiste, mais je vous alerte, même si vous devriez le savoir (site CDC, Eudravigilance), que des milliers de morts et des centaines de milliers d’effets secondaires graves sont répertoriés. Je parle de sites officiels et si on ne peut pas attribuer tous les décès aux vaccins ARNm, on sait que cela correspond à au moins un facteur 100 fois plus que les déclarations pour les autres vaccins.

    – La possibilité et ce serait le pire, que l’ARN s’intègre définitivement dans l’ADN (deux enzymes au moins du corps humain sont capables de le faire). Là, il s’agirait alors d’une flambée de cancers qui pourraient être observés entre 1 et 10 ans. Maladies neurologiques et auto-immunes peuvent aussi en découler.

    – Présence d’adjuvants jamais utilisés ni en injection ni par voie orale et non présents sur le site de l’ECHA (type nanolipides ALC-1059 ) et dont les sous-produits sont des cancérigènes potentiels connus( N,N-Dimethyltetradecylamine).

    – Présence de PEG allergisant (jusqu’à choc anaphylactique)

    Pour toutes ces raisons, j’assume dire que nous assistons à une totale expérimentation à l’aveugle à l’échelle planétaire et c’est inacceptable. Il faudrait vraiment recommander les vaccins classiques et cela inciterait de nombreux citoyens éclairés ou non à se faire vacciner.

    Sur les thérapies

    Je vais être factuel et court : il existe bien des thérapies contre le COVID contrairement à ce qu’on en entend trop dans tous les médias et dans la bouche de scientifiques qui ont des conflits d’intérêts, je suis désolé de le rappeler.

    Encore une fois, je reste collé à la science et à ce que j’ai expliqué au début de ce courrier et rappelé ; il est très difficile de bloquer la diffusion de ce virus donc les antiviraux « purs » ne fonctionnent pas tels les anticorps monoclonaux. Certaines molécules ont une certaine efficacité antivirale, mais elle s’adjoint SURTOUT d’une efficacité anti-inflammatoire !

    Voir aussi : »Tout miser sur la stratégie vaccinale est un non-sens » Dr Gérard Guillaume

    C’est le cas en particulier de l’ivermectine, et sur ce sujet comme tous ceux évoqués, je pourrais aussi évidemment donner de la bibliographie.

    C’est aussi le cas de l’Hhdroxychloroquine en association avec l’azithromycine et du zinc (si on fait la bibliographie avec ces associations, on trouve que c’est efficace).

    Il y a d’autres thérapies, je ne vais pas en faire la liste, mais l’essentiel est d’utiliser des antiviraux avec des antiinflammatoires. Heureusement qu’on utilise la dexaméthasone à l’hôpital qui sauve des vies, mais il existe d’autres antiinflammatoires beaucoup plus précisément axés sur les voies inflammatoires précises du COVID qui ne sont pas encore utilisées.

    Les thérapies, point important aussi, ne contribuent pas à développer de variants contrairement aux vaccins ARNm, car la pression des vaccins ARNm est concentrée sur la protéine spike, alors que les médicaments agissent par des voies plus variées et complexes.

    Et on devrait discuter de cela beaucoup plus, au lieu de cristalliser le débat sur une vaccination de masse accompagné d’un passe sanitaire et de sanctions et j’en arrive donc à ma conclusion scientifique et objective.

    Conclusion

    Ma conclusion se base à la fois sur la littérature scientifique, mais aussi sur les remontées du terrain – je suis en contact avec de très nombreux médecins – ainsi que sur l’observation de ce qui se passe depuis 1 an et demi dans le monde selon les différentes mesures.

    Etant donné les particularités ce virus SARS-CoV2 et de ses variants que j’ai évoqué ici, il est impossible qu’une vaccination seule bloque la contamination et les morts à l’hôpital.

    Si on pratique cette politique unique, ce qui semble se confirmer, je peux vous assurer qu’il y aura bien cette quatrième vague que nous débutons puis une cinquième en octobre-novembre (plus mortelle en raison de la saisonnalité et en l’absence de traitements précoces et plus variés) et d’autres ensuite. La surprise pourrait être que notre immunité naturelle s’adapte plus fortement et associé à la vaccination, mais ses effets sont largement surestimés (surtout face aux variants actuels et à venir).

    La meilleure façon de sortir rapidement de cette crise repose sur plusieurs axes :

    Une application raisonnable des gestes barrières : masque dans métro ou lieux à forte concentration mais surtout proposer du gel hydroalcoolique dans les endroits très fréquentés (transports en commun etc). Je sais qu’on vous a beaucoup parlé de transmission aérienne, mais ça n’a pas de sens scientifiquement par rapport à la charge virale : ce virus se transmet par les mains.

    Proposer des vaccins classiques à base de virus désactivé et non uniquement des thérapies expérimentales dont nous verrons tous au grand jour les effets secondaires graves. Ceci pour avoir la confiance des Français et que ce soit fait évidemment comme une incitation et non pas comme une obligation vécue comme une agression par une majorité des Français (je ne vais pas développer scientifiquement sur les relations entre stress et baisse de l’immunité) et qui enfreint tellement de lois essentielles (françaises et européennes).

    Il faut à tout prix réévaluer en France les traitements contre Covid (par des experts nationaux et internationaux indépendants !) : antiviraux et antiinflammatoires, et rendre ces traitements accessibles à tous et surtout aux plus fragiles face au Covid. On n’a toujours pas de vaccin contre le Sida, a-t-on eu tort de soigner et sauver des milliers de vies ? Le Covid serait la seule maladie sans aucun traitement.
    Ce n’est pas la réalité et des pays beaucoup plus grands que nous, comme l’Inde (20 fois notre population) ont réussi à enrayer l’épidémie avec une mortalité qui est parlante quand on la compare à la France.
    La prévention et le renforcement immunitaire des personnes fragiles seraient aussi très efficace pour limiter la contamination (l’ivermectine fonctionne aussi en prophylactique par ex) et en tout cas les formes graves et hospitalisations.

    Je sais que traduire tout cela en propositions et actes politiques ne se fait pas si simplement. Je sais la désinformation et les pressions que vous subissez. Je pense que l’information que je vous partage ici est essentielle cependant pour votre réflexion.

    J’ai mis mon entière honnêteté et l’essentiel des connaissances non déformées sur ce COVID dans ce courrier. A aucun moment, je n’ai souhaité provoquer ou trop simplifier.

    Mais je veux le dire fortement cependant : si vous faites seulement le choix d’une vaccination obligatoire (je passe sur l’aspect des libertés auxquelles je sais que vous êtes attachée), vous relirez mon courrier avec un autre œil en novembre en observant l’inefficacité totale cette mesure déconnectée de la science et du bon sens.

    Bien cordialement et très sincèrement,

    Dr Jean-François Lesgards

    Laboratoire Sondes Moléculaires en Biologie et Stress Oxydant (SMBSO), Institut de Chimie Radicalaire (ICR), UMR CNRS 7273, Aix Marseille Université.

    Répondre
    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      MERCI de votre long commentaire. Dans ce blog, avant tout dédié à la recherche spirituelle, je me suis permis de vulgariser ce que j’ai compris des événements depuis mars 2020. LE problème c’est qu’il s’agit de notions très complexes, que seule une poignée de scientifiques est capable de comprendre, et qu’on est en pleine recherche. Étaler sur les écrans, comme on le fait jour après jour depuis 18 mois, les tâtonnements de cette recherche, c’est déboussoler à coup sûr des gens qui n’y comprennent rien. En politique on n’a pas besoin d’hypothèses, mais de certitudes. Un pays comme le nôtre, marqué par ses différentes révolutions ; une population comme la nôtre, incapable d’obéir sans contester ; des Français comme les nôtres, aveuglés par l’orgueil de leur individualisme, rendent toute action politique extraordinairement difficile. J’observe la faiblesse de ce gouvernement avec crainte. Un autre aurait-il fait mieux ? J’en doute. « Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent ». Ce blog va revenir à sa vocation première : la recherche de l’au-delà des apparences.
      Merci encore, M.B.

      Répondre
    2. CORRE Henry

      Twitter
      Jean-François Lesgards
      @JLesgards
      ·
      23 juil.
      Demain nous mettons un pied de Macron en dehors de l’Elysée

      Votre intervention est purement politique, elle entache votre intervention scientifique….

      Répondre
      1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

        Mais non. Il n’y a pas d’un côté le scientifique, de l’autre le politique, de l’autre le mystique. Il y a un être humain unifié qui cherche la vérité (cf. intitulé du blog).
        Vous chassez Macron de l’Élysée demain à 11 heures ? Parfait. Et à 11 heures 05, QUI gouvernera la France, QUI la représentera devant le reste du monde ? Je suis curieux de vivre jusqu’à demain 11h 10, pour connaître votre solution à tous nos problèmes.
        M.B.

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  2. François Vetter

    Tous les mensonges publics passés et présents me poussent à prendre mes distances avec les déclarations officielles, dont on ne sait jamais si elles sont sincères … ou pas.
    Concernant cette pandémie, force est de reconnaître qu’elle existe. D’abord réticent à la vaccination, j’ai fini par me ranger à l’argument de la nécessité de l’immunité collective, bien explicité dans le texte de Michel Benoît, et à me faire vacciner.
    J’ai lu avec intérêt les diverses opinions exprimées dans ce blog, mais je constate qu’une question n’a pas été mise en lumière. J’en appelle à M.B ainsi qu’à ceux qui ont des connaissances approfondies en biologie cellulaire:
    A la longue, cet ARN messager ne risque-t-il pas de « vivre sa vie » et à s’intégrer ici ou là dans un organite capable de le reproduire et de l’intégrer in fine dans un brin d’ADN avec tous les risques à long terme que cela pose. Officiellement c’est non. Mais entre nous, en toute sincérité ?
    Si ce risque existait, il n’en demeurerait pas moins qu’il faut parer au plus pressé, à savoir barrer la route à la circulation du virus, donc vacciner. Mais il conviendrait aussi de penser aussi à l’après, au conséquences possibles, pour ne pas être démuni au moment où elles se produiraient.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Vous posez bien le problème rencontré par les politiques : l’urgence. Certains (Trump, Bolsonaro) ont nié cette urgence. D’autres (Chine) ont choisi l’opacité totale, ce qui est une autre façon de nier la réalité. La France, fidèle à une tradition qui l’honore et la paralyse depuis 200 ans, a choisi la transparence dans l’urgence, c-à-dire l’étalage sur la voie publique de tout et son contraire. Vous ne savez pas si les déclarations officielles sont sincères ? Où donc cherchez-vous et trouvez-vous la sincérité des faits et des chiffres ? En l’absence d’autre information, on est obligés d’avaler celle-là. S’en méfier ne suffit pas, il faut proposer & trouver mieux.
      Amicalement, M.B.

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      1. Peter

        Vaccinez les, vaccinez les tous , ….. reconnaîtra les siens !
        Mais votre commentaire semble plus mesuré et emprunt de justesse.
        A ceux qui veulent chercher l’information de sachant qui s’avent que leur savoir n’est qu’une base pour aller plus loin dans la reconnaissance des faits et des imprévus complexes de la vie microscopique qui impact la machinerie humaine et animale, il est nécessaire de regarder l’approche et les arguments d’homme rompus à l’exercice de ces fonctions:
        le Haut comité de santé , l’Ihu infection Marseille, service de maladie infectieuse Garches.
        Les premiers sont des indicateurs influençables et parfois influencés, utile au pouvoir décisionnel politique, le deuxième, il est dans le dur , dans le réel, indicateur apolitique d’une réaction urgente et influencés par l’expérience et espérance de pouvoir utiliser des traitements simples pour réduire la toxicité viral.
        Incompréhension, incompatibilité, incohérence, diffamation, déstabilisations… pour aboutir à une solution unique sanitaire, ce qui n’est jamais très efficace en médecine.
        Chacun a fait un pas et ce petit pas pour chacun n’a pas été un « grand pas » pour la prise en charge complète d’un virus fortement booster pour être plus contagieux et possiblement traitable comme une épidémie de forte grippe avec un variant non inclus dans le vaccin anti grippal.
        4 millions de morts dans le monde.
        Est-ce que vous intéressiez avant cette pandémie au nombre de morts dus aux infections respiratoires hivernales aiguës , dans chaque pays ?
        L’éviction de la prise en charge de ces infections rapidement par les médecins traitant ou non traitant a été une catastrophe une hérésie, une forfaiture, aucune parole des représentants de la profession pour défendre la liberté de prescription , ont leur a interdit de prescrire les traitements connus et possiblement efficaces en ajoutant des molécules repositionnées, comme il se fait dans tous les services hospitaliers ou en ville.
        Je pense que cette situation, qui perdure pendant la phase aiguë, n’est plus de mise à la phase sub aiguë , le moment où tout peu basculer.
        Sur ce sujet là, le politique et l’ordre des médecins ne sont pas à l’abri de critiques qui pourraient être prise pour non assistance à personne en danger.
        Je m’arrête et que l’esprit créateur et créatif guide nos actions et nos motivations avec justesse et humilité.

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        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          En temps NORMAL et NORMALEMENT, des savants sachants devraient avoir des conclusions à fournir aux politiques, qui prendraient des décisions légales non discutées et non-discutables.
          Mais les sachants n’ont pas rempli leur mission. Au lieu de donner des conclusions ils ont étalé sur la place publique leurs hypothèses, et souvent leurs ignorances. Le but étant d’apparaître sur les écrans.
          Et les politiques, enchaînés aux fluctuations de l’opinion publique, ont fait du yo-yo pour suivre en temps réel les incertitudes affichées des savants.
          Résultat : the mess (en français : « le foutoir »)
          M.B.

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      2. François Vetter

        Effectivement, faute de mieux nous nous en tenons à ce qui semble raisonnable: Protéger la société en jouant la barrière de la vaccination.
        Mais vous n’avez pas répondu à ma question sur les risques spécifiques éventuels liés à l’emploi d’ARN. Oui ou non, cet ARN peut-il par une faille métabolique qui m’échappe s’intégrer au génome avec des conséquences à moyen ou long terme. Pur fantasme ou risque possible ? Existe-t-il une réponse scientifique à ma question ?
        Bien amicalement? François

        Répondre
        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          Risque THÉORIQUEMENT possible. Mais ni confirmé ni documenté à ce jour.
          je vous signale que vivre, c’est risqué
          amicalement, M.B.

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        2. Peter

          Depuis le début l’évolution humaine des milliers de bout de virus à ARN et à ARN ont migrés dans notre ADN et font partie de notre génome.
          Quels rôles jouent ils ?
          Sont ils dans la partie non codante de l’ADN (95%) , influencent ils les expressions des gènes codant (epi-endo-gentique) pour soit nous protéger soit déclencher des maladies chroniques ?
          Question encore largement ouverte.
          Pour moi que de l’ADN virus puisse entrer dans le noyau de mes cellules ( asrtra jannssen) et se transformer en ARN messager pour aller fabriquer la protéine Spike m’agace un peu .
          Cet ADN viral de chimpanzé bardé de sécurité ? On sait que c’est déjà compliqué la sécurité informatique alors la sécurité intracellulaire physico-chimique, on n’en parle même pas , mais pas du tout , tout est sous contrôle !!!
          Un corps sain( mouvement et bonne alimentation)avec un esprit sain (ou Saint) éviterait beaucoup d’infections.

          Répondre
          1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

            L’empreinte d’ADN viral introduite dans notre système immunitaire par l’ARNm (Pfizer/Moderna) se fixe sur les ribosomes et ne pénètre pas dans le noyau. Elle ne s’intègre donc pas à notre patrimoine génétique.
            M.B.

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            1. Peter

              Non cet un ARN viral le coronaro virus et effectivement Pfizer et Moderna ne rentre pas dans le noyau ( on souffle un peu! ) et cet ARN est dupliqué par les ribosomes du cytoplasme ( là où peut se jouer l’action des macrolides en bloquant les machinerie des ribosomes) .
              Cet ARN , aux dires de Pfizer, fait son boulot et de désintègre . Ils en sont sûr ? C’est déjà tellement instable qu’il faut le conserver à – 80 degré et l’injecter entre 8 et 12 degré ? Paradoxe sûrement lever par des résultats excellents ..
              Pour la planète l’utilisation de millions de congélateurs c’est pas top top , mais c’est quoi qu’il en coûte !!

            2. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              Puisqu’on ne peut pas les contrôler nous-mêmes, on est obligés de faire confiance aux agences françaises & européennes qui contrôlent les vaccins. Pas satisfaisant ? Peut-être. Avez-vous autre chose ?
              M.B.

            3. Peter

              une réponse , c’est utiliser deux angle d’attaque stratégiques.
              1- Dépister (avec des tests plus sensibles sur la covid)
              2- Traitement immédiat avec toutes les molécules médicaments utilisées dans la grippe saisonnière forte ( azytro, corticoide, anti coagulant, vit c d ivermectine ,oxygène) avec suivi oxymétre de doigt et clinique . Les gens jeunes et parfois moins jeunes ne passeront pas le porte des services hospitaliers.
              3-Isoler les malades pendant 10 à 15 j et refaire test ou sérologie AC anti covid.
              4-vaccinations des personnes âgées et ceux à risque important , cela obligatoire.
              Avec cela on n’encombre beaucoup moins les urgences et les réanimation et on contrôle l’épidémie .
              DTIV =dépister , traiter, isoler, vacciner
              C’est une modalité de réponse qui n’a pas été prise en compte par le Chef , bien qu’il est été averti par des scientifiques de très haut niveau.
              Alors alors

            4. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              Mais le chef (Macron et son gouvernement) ont fait et font exactement ce que vous préconisez. Avec un peu de retard à l’allumage ? C’est qu’ils ne sont pas libres. Il y a les 10 ou 20 % de Français qui sont CONTRE tout par principe, et contre Macron & gouvernement par mauvaise foi.
              M.B.

  3. Stéphane Michaud

    Bonjour Michel,
    et merci pour ces deux articles clairs et concis.
    Avez-vous des informations sur la « 2e génération » de vaccins, ou du moins les vaccins non encore mis sur le marché, et qui devraient être disponibles fin 2021 ou courant 2022? On n’en parle plus trop, et pourtant je suppose qu’ils sont en cours de mise au point: auront-ils un potentiel d’efficacité plus important que les vaccins actuels?
    à bientôt!

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Non, mais il est évident que les labos du monde entier travaillent !
      les vaccins actuellement disponibles sont efficaces sur la souche-mère (surtout le vaccin ARN, 95 %). Mais comme beaucoup de gens refusent de se faire vacciner, et que les gouvernements sont trop faibles pour imposer la vaccination générale, on va voir arriver des mutants de + en + éloignés des souches-mères, et il faudra tout recommencer à zéro.
      M.B.

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      1. Peter

        Il suffit d’aller chercher l’information : VANEVA pas pour l’EUROPE , d’abord GB et ensuite possible en 2022 sauf si l’EUROPE paye et encore !
        Pour SANOFI =fin du premier trimestre 2021 , il sera nécessaire que l’état pousse le champion Français pour récupérer des sous , ce qu’a commencer a faire Madame la Ministre .
        Pas d’inquiétude pour les vaccinés , il y aura une troisième dose et.. peut-être une quatrième dose pour : 1-finir les stocks payés( 1.5 milliard de doses pour 440 millions d’européens) 2-pour se battre contre les variants qui se développerons comme la grippe (coronavirus ARN aussi monobrin positif ).

        Répondre
  4. Peter

    Et pourquoi vous ne parlez pas des vaccins VALNEVA et Sanofi virus vivants atténués ?
    Le premier (franco autrichien) a été retoqué par l’UE car ils avaient « oublié des cases » et c »est les Anglais qui l’ont fait fabriqués en Ecosse et seront servis en premiers , il serait en phase 3 et l’UE essaye de se raccrocher au wagon.
    Le Sanofi est aussi en phase 3 et une ministre (Panacher) a même dit qu’il serait très efficace.
    Je n’ai pas envie que l’on se serve de mes cellules (toutes) pour fabriquer une protéine Spike qui est immunogène à 75 % et qui pourrait abîmer les parois des vaisseaux et des micro vaisseaux et autres réjouissance.
    J’ai eu le covid en novembre 2020 , j’ai des AC et donc pourquoi me demander de me faire injecter une thérapie préventive génique ? C’est Fou dingue .
    Vous ne parlez pas des traitements précoces , tant pis pour vos lecteurs et sans doute pour vous même qui êtes sûrement vacciner.
    Scandale de REMDESIVIR du RiVOTRIL de l’interdictions faîtes aux médecins d’essayer de traiter leurs patients de la mise au ban des accusés du Pr RAOULT et autres. Et vous suivez encore les recommandations de ce comité de défense omnipotent omniscient ?
    Les LABOS n’ont plus aucune responsabilités. C’est nous qui paierons les dégâts (ONIAM).
    C’est la « guerre » qui ne fait qu’un pourcentage peu élevé de décès en France et surtout après 80 ans et pas bien portants . En cas de guerre , le chef a le devoir de protéger et de détruire si possible l’ennemi avec tous les moyens disponibles. Ce chef là, il a opter pour une tactique unique et un mur « vaccinal » monté rapidement sans possible discussion et controverse enrichissante . L’histoire nous dira si c’était le bon choix .

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    1. CORRE Henry

      Les majorités des opinions scientifiques nous enfument. Les minorités détiennent la vérité.
      Les deux fondamentaux des complotistes et pseudo-scientifiques!
      C’est la « dictature », mot employé à toutes les sauces, des minorités!

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      1. Peter

        Il n’y a pas eu de juste milieu, ni juste mesure, pas « d’homéostasie »scientifique et médicale pendant cette crise sanitaire.
        L’hybris et le polemos ont tout bloqué pour faire bonne figure et pouvoir assurer le pouvoir du chef Et de ses commanditaires.
        Comme en 40 , un DE GAULLE s’est levé pour proposer des armes rapides efficaces et légères, comme en 40 les généraux du Haut comite scientifique lui ont rie au nez et à sa barbe , comme en 40 nous avons été submergés croyant nos défenses infranchissables. Maintenant Il faut collaborer avec les variants.
        Effectivement il y’a des résistances individuelles sur l’on culpabilise et que l’on tourne en dérision déraisonnable au profit du bien collectif.
        Ces résistances sont-elles ou ont-elles stigmatisées ont-elles la possibilité d’expliquer de donner leur avis ?
        Obliger c’est donner un ordre et cet ordre est sans doute cohérent avec l’ambiance dégagée par ces chefs. Mais l’ordre demande une adhésion par une majorité qui semble ne plus être représentée par les élus du peuple.
        Le chef a dit, une nation ça se contraint , oui si c’est pour encadrer notre liberté éprouvante et indispensable , non pour assouvir des ordres d’une catégorie d’individus persuadés qu’ils vont changer la direction du monde .

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        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          « Donner son avis » est le coeur même de la démocratie. A condition qu’on sache de quoi on parle. Or la majorité des anti-vax ne sait pas ce que c’est qu’un ADN, un nucléotide, une réplication, etc. Quand on ne sait pas, on se tait. Le problème, c’est que les sachants ont été incapables, dès le début, de se taire aussi. Ils nous ont enfumés dans leurs contradictions et leur discours égotiques. Pauvres de nous ! Alors qu’il n’y avait qu’une chose à dire : vaccinez-vous vite pour échapper à la catastrophe ! Résultat, on y est.
          M.B.

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          1. élizabeth

            Mais quelle catastrophe ?
            Toujours pas enjambé de cadavres.
            Par contre foutre en l’air le pays, économiquement, moralement, casser l’esprit des gens, les monter les uns contre les autres, ça je le constate de mes yeux, c’est la faute des non-vax ? Pas sûre mais certains espèrent une guerre civile avant 2022 depuis bien longtemps et s’arrangent je pense pour l’organiser.
            La violence des non-vax parait-il, faudrait la comparer à l’hypocrisie d’autres qui « voulaient juste écrire un ptit article pour aider (bien sûr) les indécis » alors que la conclusion est l’injonction, en rouge, en gras, de vacciner le monde entier ?!! Et si on est contre, on est violent ? Si on dit non, c’est de la barbarie ? Ah non, du complotistme de minorité.
            On est plus de la moitié du pays à avoir dit non, vous traitez tous ceux-là de cons, d’ignares, qui ne savent pas de quoi ils parlent, et qui devraient la fermer ?
            Ils parlent de leur corps, de leur intégrité physique, de leur jugement, de droit, accessoirement, et aussi de l’avenir de leurs gosses. Pour qui se prennent certains en prétendant leur infliger quoi que ce soit et en affirmant mieux savoir qu’eux ?
            Qui sont les fanatiques qui prétendent sauver des vies ? En étant prêts à contraindre ceux qui ont le malheur d’avoir un autre avis, une autre perception des évènements, que celle dictée par ces télés et radios, auxquels vous empruntez chiffres tronqués, raisonnements foireux, et petites phrases de mépris ?
            Tiens, au fait….
            https://www.journaldugeek.com/2021/06/16/cellules-humaines-peuvent-convertir-arn-adn/
            Je pense que quand nous parlera de nous pucer comme des bestiaux car trop de faux pass ou faux tests circulent sans compter que ce sera pour sauver des vies, au moins deux d’ici seront bien mûrs pour se la faire mettre.
            En attendant, bonnes mises à jours de ce qui était autrefois, votre système.

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            1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              Quelle catastrophe ? L’économie mondiale en panne, la dette française à 140 %, des millions d’enfants éduqués à la méfiance de l’autre, et j’en passe, et j’en passe. VOUS n’avez pas enjambé de cadavres ? Allez en Inde. C’est à 11 heures d’avion de la France.
              le slogan des non-vax : « Liberté de choix ». Ils sont libres en effet de ne pas se protéger contre un virus meurtrier. Mais ils ne sont pas libres d’imposer aux vaccinés 1° le confinement, les restrictions de liberté si le virus se répand et 2° la libre propagation du virus, auquel leur organisme non-vacciné offre un terrain de croissance et de mutations.
              Ils mélangent et confondent tout. Leur nombre est inquiétant.
              M.B.

            2. Peter

              Il est nécessaire de lire votre commentaire.
              C’est une base de discussion avec arguments et fait vérifiables.
              Il y’a incompatibilité avec l’auteur de par ses articles et sa position est aussi intéressante.
              Le chef, je le répète, omniscient et omnipotent ( caractéristique de la divinité) a décidé et il ne peut pas se tromper ou se tromper ou être tromper ! Pour quelqu’un qui ne croit pas en Dieu, croire en tout cela est étonnant. Paradoxal.
              Je ne lui jetterai aucune pierre car sachant qu’il sait, cette pierre ne pourra jamais être une pierre d’angle d’attaque de son édifice savant.
              Les quatre D ( dodo,domicile , décès) ont entraînés plus de dégâts que de bienfaits.
              Le confinement moyenâgeux et le mur « vaccinal » n’ont semble-t-il pas entraîné une éradication du virus et de ses variants.
              Il n’est pas correct de traiter les personnes d’anti-vax; beaucoup sont pour le modèle vaccinal pour éradiquer une maladie et les médecins scientifiques n’ont toujours pas trouvé de méthode pour éradiquer la grippe ( corona virus) !!! L’obligation est recommandée mais pas obligatoire pour les plus fragiles.
              De nombreux médecins traitent une grippe par des antibiotiques et des corticoïdes, maintenant il faudra peut-être qu’ils ajoutent des anti coagulants.
              Ce virus sorti inopinément du laboratoire chinois et dont la Chine après quelques morts non vraiment comptabilisés, s’en lave les mains ( ce qui est normal pour une civilisation qui ne connaît pas la culpabilité) et essaye de contrôler, contribuer, faire semblant de participer aux recherches thérapeutiques et aux recherches sur l’origine de ce virus ( on parle plus du pangolin pingouin Ping) .
              Dommage tout cela et comme vous le savez tous l’histoire sera écrite par les vainqueurs, il sera nécessaire d’être patient pour entrevoir des faits sans précédent qui nous pousse de la société 2.0 à l’addition du chiffre 007 .
              C’est tragique, passionnant et remuant.
              Merci de nous laisser expliquer, exprimer des informations qui ne sont pas toujours bien perçues ni bien transmises.

            3. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              Je vous remercie de nous avoir transmis le long commentaire du Dr Lesgards. Voyez la réponse que je lui fais. Personne n’y voyant clair, les politiques (apparemment) pas plus que nous ; les prévisions étant incertaines ; les gens étant épuisés, ce blog va revenir à son essentiel : l’au-delà des apparences. Fuite en avant ? Pas à mes yeux. Car nous allons tous mourir, coronavirus ou chute dans l’escalier. Le + tard possible j’espère, mais à l’échelle cosmique c’est pour ce soir. LA question, la seule, c’est : « Comment vivre sa mort ? Comment s’y préparer ? Qu’il a-t-il après ? »
              L’actualité ne doit pas nous écarter de nos trajectoires.
              M.B.

            4. élizabeth

              Oui sur l’économie je ne nie pas, c’est ma troisième phrase.
              On ne va pas discuter de la dette (mais d’où peut-elle bien venir ?), ni de l’éducation des gosses éduqués à la méfiance, les dégâts étaient là bien avant le covid, ne serait-ce qu’avec des officines comme SOS R.
              Pour l’Inde(ou Deltaland faut dire ?), z’auriez pu aller chercher plus loin encore, et j’ai pas de fric ni de pass pour y aller. Mais les médias nous ont déjà fait le coup de l’Inde et de ses crématoires à ciel ouvert, argument bidon démonté par des internautes qui connaissent, contrairement à moi, très bien le pays.
              Un virus meurtrier ? Bon, je ne vais même pas répondre à ça.
              La grippe aussi, parait-il, on en meurt.
              Pour votre info, c’est le gouvernement de psychopathes qui décide des confinements (sauf pour s’entasser dans le métro) et la restriction des libertés. PAS les citoyens, vax ou non.
              Revoyez aussi la risible affaire des dîners clandestins, confinement à deux ou trois vitesses. Evitez la mauvaise foi, ça le fait pas.
              Leur organisme non vacciné qui offre un terrain de croissance ??!
              A débattre, moi j’ai entendu la démonstration inverse.
              « Ils mélangent tout et confondent tout ». Oui oui, contrairement à vous qui êtes la lucidité et le bon sens incarné, insinuant qu’un non-vax provoque toutes les catastrophes, est à l’origine de toutes les restrictions. Du génie.
              Leur nombre est inquiétant, comme je vous comprends… des millions à ne pas être d’accord avec vous, à ne plus croire les débillités des médias, des millions à avoir remarqué que micron nous bute et nous parle de la « bête de l’évènement » avec une tête de taré. Des millions à l’avoir entendu dire aux vaccinés que leur immunité s’affaiblirait d’ici quelques-mois, et qu’il leur faudrait une troisième dose. Qui inquiète qui, délibérément ? Mais tiens, si ça peut vous rassurer, je peux vous dire que les méchants non-vax seront persécutés, punis, et tués pour certains, comme les confinements ont déjà tué plusieurs commerçants (au sens propre, ils se sont vraiment suicidés). Les méchants non-vax vont payer très cher leur…doute.
              Ces imbéciles qui osent douter d’un vaccin apparu en à peine un an après l’apparition du magic covid, qui tue le monde plus que les industriels, les financiers, plus que leurs famines et leurs guerres, ces hérétiques, ils vont bien en chier, et vous serez dans le bon camp pour observer tout ça.
              Vous avez fait le choix de vous prémunir de la mort. Fort bien.
              N’en dégoûtez pas les autres.
              Je vais vous épargner le trop long, puisqu’on peut débattre, mais en un seul paragraphe pour nous si possible. Je vous propose néanmoins de revisionner les déclarations de certains politiques. Y a rien de sanitaire là-dedans. Pis si j’ai le droit d’oser me permettre un conseil…
              Ces non-vax (et dans le tas des plus diplômés et intelligents que bibi), ce sont eux vos prochains, à moins que vous ne fassiez des dînoches chez Mezouza-Man. Essayez de leur faire un peu confiance. Ce sont eux qui vous font peur, ou c’est cette tévé de merde ? Ce sont eux qui vous trompent ou vous demandent-ils de lire un article, une vidéo pour étayer la réflexion ? Allez j’arrête là, j’espère que le prochain article sera plus neutre. Bien à vous.

            5. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              Le (les) prochains articles ne parleront plus du virus, ça suffit comme ça. Mais – je l’espère – de ce qui seul compte : les réalités au-delà des apparences et les moyens de les rencontrer
              M.B.

  5. Jean-Marie GLÄNTZLEN

    Vraiment triste, Michel

    De toute évidence vous ne connaissez pas la vraie vie et la vraie personnalité de ce triste sire de Louis Pasteur passablement bien illustrée par le livre qu’a écrit un de ses neveux et son collaborateur Adrien Loir collabo

    Vous n’avez pas lu deux ou trois livres parmi les dizaines écrits sur la planète entière depuis plus de 100 ans tout particulièrement par des médecins sur Pasteur et la dangerosité des vaccins à qui ont a faussement attribué le mérite d’avoir permis la fin des épidémies alors qu’elles commençaient à décroitre avant celle « salutaire » arrivée.

    Vous n’avez pas non plus lu, plus récemment, l’un ou l’autre des ex-cadres supérieurs de Bigpharma conseillant de ne pas se faire vacciné

    Vraiment dommage et attristant

    NB. Il y a tout de même des anti-vax cultivés. Moi c’est depuis 1972

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    1. CORRE Henry

      Lire lire lire! Il faut tout croire parce que c’est écrit? Cultivé dans votre sillon…
      Il y a des tonnes de livres sur les extra-terrestres, la mémoire de l’eau, la cryptozoologie , la parapsychologie l’ufologie, la transcommunication ,l’homéopathie, l’astroarchéologie etc etc…
      Il y a une erreur classique dans l’emploi des statistiques qui consiste à confondre causalité et corrélation qui est à l’origine de nombreuses affirmations pseudo-scientifiques.

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      1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

        l’intérêt des réseaux sociaux et d’un blog, c’est qu’on peut se lâcher sans être interrompu et dire tout ce qu’on ressent. L’inconvénient des réseaux sociaux et d’un blog, c’est qu’on se lâche et qu’on exprime toutes les frustrations et les haines contenues par la solitude. Il ne faut ni s’en étonner ni s’en offusquer. Et si possible, aimer ceux qui font ainsi saigner leurs plaies en public.
        M.B.

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  6. MINMEISTER

    Simplement consternant …
    Je vais m adresser à Henrion Caude pour des leçons de théologie .

    Ps : Statistiques de l’APHP, indépendantes et fiables. ben voyons !!!! et Pasteur aussi ! pourquoi pas !
    L’église ne s’est pas trompée en vous virant , finalement , ils sont lucides .

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Je vous tends la joue gauche.
      M.B.
      P.S. : est-il interdit à un théologien de s’intéresser à ce qui fait la vie de la planète ?

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    2. CORRE Henry

      Alexandra Henrion-Claude a été une chercheuse brillante puis a quitté l’Inserm, et développé des thèses complotistes en contradiction avec ses pairs…Aucune valeur sauf pour les allumés!

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      1. élizabeth

        Un peu comme Jésus, cette Henrion-Caude.
        Brillante et reconnue par ses pairs, mais hors d’elle même du jour au lendemain et subitement devenue cinglée (traduction honnête de complotiste), reniée par les mêmes.
        Pour ce qui est de la lecture, je trouve étrange que pour certains, universitaires et autres docteurs, il soit admirable et respectable de citer auteurs, citations, sources de leur savoir, d’énoncer la taille de leur bibliothèque, et que pour d’autres, ce soit considéré comme de la niaiserie ou de la prétention, comme s’ils n’étaient pas capables de faire le tri, d’après leur jugement, et de sélectionner, eux aussi, leurs lectures, ou comme si, n’étant pas enseignants, ils n’auraient pas le droit d’être curieux et de s’instruire, ni de citer leurs sources.
        D’ailleurs que faisons-nous sur ce blog si ce n’est pour lire ?
        C’est certainement en lisant, du faux, du rigolo, du vrai, du scientifique, du délirant, qu’on apprend à exercer son discernement, et même davantage , car tout est écrit. Lisons donc.

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    3. Dominique Lescat

      Minmeister, quel est le rapport avec l’Église ?
      Et que proposez-vous d’autre pour lutter contre ce fichu virus ?
      L’exposé de Michel B. est clair et précis. Merci à lui.

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  7. duval

    Ces deux articles m’ont paru être les plus clairs de tout ce que j’ai pu lire sur le sujet; donc merci.
    Je ne suis pas un farouche défenseur de toutes les vaccinations (en particulier des vaccins vivant atténué) et cela faisait déjà fort longtemps que j’appelais de mes vœux un vaccin du type ARN, sans savoir comment cela pourrait se faire ni quand ! Je suis scientifique mais pas dans ce domaine !!!!
    Après trois mois d’attente pour mieux évaluer les éventuels effets secondaires, je me suis donc fait vacciner.

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