Le soleil se lève et le soleil se couche. Les fleuves coulent vers la mer et la mer ne se remplit pas. Rien ne laisse de trace, et très peu d’hommes publics : Robert Badinter était de ceux-là. Déjà, il nous manque.
Il se trouve que je l’ai rencontré dans une circonstance inattendue. C’était en 1989, j’étais allé attendre à l’aéroport d’Orly une amie qui revenait de vacances. Lire la suite