QU’EST-CE QUI NOUS ARRIVE ?

Mais qu’est-ce qui nous arrive en ce moment ?

Souvenirs, souvenirs…

Au début de l’été 1939 la France est partie en vacances en famille, comme d’habitude. On a rencontré des amis et tout plein de gens avec qui on a passé des bons moments, comme d’habitude. On a ri, on a parlé de choses et d’autres, des enfants, de la rentrée prochaine. On était si bien ensemble, comme d’habitude !

Et puis brutalement, en une semaine ça a été la guerre. Toutes les habitudes, le tran-tran quotidien rassurant, tout ça a disparu d’un seul coup. Après l’exode – les gens jetés sur les routes et sous les bombes – il y a eu l’occupation et l’exode intérieur. La guerre nous avait séparés, on s’est renfermés. Nous étions ensemble, on a vécu chacun pour soi. On riait, un voile de tristesse s’est abattu sur la France. On était confiants, chacun a dû se méfier de tous et de tout. On rasait les murs, on se cachait le visage. On apprenait aux enfants à avoir peur.

La défiance s’installait dans les esprits, comme un lent cancer. Les journalistes ? Des perroquets, on ne pouvait pas les croire. Les politiques ? Des pourris (disait-on) et des traîtres (pensait-on). Radio-Paris ? Des menteurs. Ne pouvant se fier à aucune information officielle, incapables de raisonner.et d’avoir une vue d’ensemble, les passions prirent le dessus. Les gens ne comprenaient pas ce qui leur arrivait. Ils ne comprenaient plus rien à rien. Ils courbèrent le dos sous l’ennemi.

Beaucoup faisaient bravement face à l’adversité, mais sans bruit, en silence. L’héroïsme au quotidien passe inaperçu. Il y avait des gestes de solidarité admirables, inaudibles et invisibles dans le chaos ambiant. D’autres profitaient de la situation pour faire parler d’eux et prendre la lumière (avec l’argent). Quelques-uns entraient en résistance. Ils tentaient de dire et de faire connaître la vérité. Mais y avait-il encore une vérité ?

Radio-Paris ment

Il semble que nous revivions ce qu’ont connu nos parents et grands-parents. En une semaine, la pandémie a bouleversé nos habitudes, distendu nos liens sociaux, anéanti nos complicités. Elle a projeté une lumière crûe sur nos faiblesses, nos malformations, nos misères. Ce qu’on cachait tant que tout allait comme d’habitude est apparu au grand jour. C’est comme si les verrous de l’éducation et des conventions sociales qui font une société avaient sauté. On ne se rencontre plus. On devient agressifs. On s’écarte les uns des autres, et quand on est obligés de se côtoyer c’est visage masqué. La France a perdu son sourire.

Si on s’informe, c’est sur les réseaux anti-sociaux qui mélangent tout, confondent tout, répandent la peur, la défiance, le mensonge, la haine, la désunion sociale. C’était déjà comme ça avec la presse collabo sous l’occupation, qui tordait la vérité. Aujourd’hui encore, il n’y a plus de vérité accessible à tous. L’ennemi est invisible, sauf sous le microscope électronique de quelques biologistes. Des spécialistes de haut niveau, qui savent ce qu’est un nucléotide, un acide aminé, la différence qu’il y a entre un ADN et un ARN.

Or depuis deux ans les médias nous bombardent de ces informations scientifiques qui passent par-dessus la tête des Français. Interpréter des statistiques, c’est compliqué : en mathématique comme en biologie, la France est depuis longtemps au plus bas dans les classements internationaux. Pourtant on voit chaque jour sur les écrans des courbes, des schémas, des chiffres qui demanderaient une interprétation détaillée. Mais le temps d’antenne est court, et la population ne peut rien y comprendre : elle n’a pas été formée pour ça. Certains sites et certains politiques s’emparent de ces données sommaires et les trafiquent encore. Ils en font des slogans qui répandent la désinformation et le mensonge. Leur but ? Alimenter les réseaux qui ont armé les zadistes de Notre-Dame-des-Landes, jeté dans la rue les Gilets Jaunes, provoqué des manifestations contre la vaccination. La plupart de ces réseaux présents sur Internet sont proches de l’extrême-droite ou de l’extrême-gauche.

Sous l’occupation nazie, Radio-Paris justifiait la collaboration au nom de la lutte contre le bolchévisme. On connaît le résultat. Aujourd’hui, « Radio-Paris » est dans internet. Aurons-nous un Pierre Dac pour chanter, comme autrefois, Radio-Paris ment ?

Liberté contre Serment d’Hippocrate

Car les chiffres sont là, ceux des sources officielles comme ceux des témoignages d’acteurs de terrain, et ils concordent : la vaccination complète empêche l’apparition des formes graves de corona-maladie. C’est-à-dire l’hospitalisation et surtout la réanimation. 70 à 80 % des lits de réanimation sont actuellement occupés par des personnes non-vaccinées. Quand on sait que 90% de la population française est vaccinée, cela signifie que le petit groupe des non-vaccinés surcharge à lui seul les services de réanimation, provoquant le risque de saturation des hôpitaux et obligeant les vaccinés à reporter les soins dont ils auraient besoin – ou à s’en passer. Sans compter qu’une chambre de réanimation coûte aux contribuables 1600 € par jour + les soins.

D’où la polémique qui enfle en France : faut-il accepter les non-vaccinés en réanimation ? En médecine de guerre, on apprend à trier les blessés pour en sauver le plus possible. Mais si on a affaire à des blessés volontaires ? Des blessés parce qu’ils ont refusé de se protéger contre le feu de l’ennemi ? Qui faire passer avant qui ? Faut-il soigner les mauvais soldats, qui n’ont pas obéi aux consignes, avant les bons soldats ? Laisser mourir quelques bons soldats pour sauver les mauvais ? La France – et c’est son honneur – applique le Serment d’Hippocrate : tout malade doit   être soigné. Mais si les services de réanimation sont saturés par des non-vaccinés, quelle décision prendre ?

Voyez à quelles situations intenables nous conduisent les mensonges des Anti-vaccin. Leur argument ? « Obliger des gens à se vacciner, c’est une atteinte à leur liberté ». Mais obliger tout le monde à conduire sans être ivre, c’est aussi une atteinte à la liberté, celle de chacun à se soûler la gueule un soir de fête. Et c’est une atteinte mortelle aux autres qui vont se trouver, sur la route, face à des assassins irresponsables.

Mais qu’est-ce qui nous arrive ? Peut-on vivre chacun pour soi quand on est tous pris dans la même guerre mondiale ? Avons-nous perdu le sens de ce qui est vrai, de ce qui est faux ? Le mensonge va-t-il causer encore des morts ?

Vraiment, il y a des choses que j’espérais ne pas revoir de mon vivant.

                                                           M.B., 6 janv. 2022

38 réflexions au sujet de « QU’EST-CE QUI NOUS ARRIVE ? »

  1. Justine

    Bonjour,
    de mon point de vue les médecins ne sont pas les seuls à aider en matière de santé : souvent, ils passent à côté de la prévention, à côté en fait des conditions de la santé, car ils semblent plutôt formés pour guérir les maladies, une fois qu’elles sont là. Pour un coronavirus, d’après ce que je vois autour de moi, un système immunitaire normal suffit. Il y a des gens qui tombent gravement malade avec ce virus, mais pourquoi faire de ce virus une priorité absolue et mondiale alors qu’il y a des quantités de problèmes plus importants, y compris des problèmes de santé ?
    il y a eu un nombre invraisemblables de mesures, un nombre invraisemblable d’incohérences, de coercitions, et maintenant de nouvelles lignes sont franchies avec un premier ministre qui accuse 10% de la population, a priori bien portante, d’être responsable du problème COVID, et un président qui se fait plaisir en voulant exclure ces 10% pour instaurer son nouveau régime de contrôle sanitaire par QR code
    Ces histoires de masque sont parfaitement ridicules ainsi que ces mesures de confinement. Nous marchons sur la tête.
    Plus c’est gros, plus ça passe.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      En cas de coup dur il faut avoir les nerfs solides et la tête bien faite.
      C’est ce qui manque, semble-t-il, à une (grosse ?) partie de la population. Imaginez la situation de 1940/44 aujourd’hui : je crois bien que nos grands-parents auraient fait mieux ! Nous sommes bcp + fragiles et vulnérables qu’eux. Darwin, au secours !
      M.B.

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  2. Gris

    Vacciner toute la population mondiale devrait se faire dans le laps de temps où le vaccin est efficace à 100% sinon des résurgences risquent d’apparaître.
    Par ailleurs les effets secondaires pourraient apparaître sur toute la population mondiale ce qui irait à l’encontre d’un principe de précaution, non pas dans un rapport de l’intérêt individuel versus le collectif, mais bien sur un avenir de l’humanité. Tous les vaccins classiques ont leurs lots d’effets secondaires qui apparaissent sur le moyen et long terme. Le nombre de millions d’injection et le retour d’expérience en 1 an ne prouve en aucune manière que les réactions à terme sont du même ordre de grandeur ou de même nature pathologique. Surtout pour cette nouvelle technologie de production d’anticorps (sérum à ARNm ou ADN) qui vient en concurrence d’une voie naturelle, d’où potentiellement déséquilibrante pour certains tissus ou organes.
    Ainsi se pose la question de l’injection d’un nouveau produit en phase expérimentale sur les enfants qui sont le devenir de l’humanité (j’insiste en répétant que le nombre d’injection multiplié par le nombre de jours n’équivaut pas à un nombre inférieur d’injection multiplié par une durée plus longue des vaccins classiques validés).
    Lien sur cette vidéo sur la problématique de la vaccination des enfants.
    https://odysee.com/@AlexandraHenrionCaude:7/2-l-injection-des-enfants:1 (je fais confiance au lecteur pour se renseigner sur l’auteur féminin – faut préciser maintenant avec les nouvelles règles de l’orthographe ! – en sa qualité de généticienne de ma génération de surcroit – ce qui n’est pas un gage de compétence mais dont le recul sur les conflits de la science offre une vue plus large sur les interactions science et politique à l’exemple de l’affaire Lyssenko).
    Je passe aussi sur toutes les pathologies qu’engendrent une injection ARNm codant pour la protéine spike et le dérèglement du système SRA (plus de précision pour les amateurs « système rénine-angiotensine, voir Jean-Marc Sabatier, Directeur de recherche CNRS avec un article très abordable : https://infodujour.fr/societe/54462-covid-19-la-vaccination-de-masse-est-inappropriee).

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Dans mon article, je souligne combien il est difficile pour des non-spécialistes de se faire une opinion fondée et de prendre des décisions justes. Par exemple : -1- Aucun vaccin n’est « efficace à 100% »
      -2- « cette nouvelle technologie de production d’anticorps (sérum à ARNm ou ADN) qui vient en concurrence d’une voie naturelle » écrivez-vous. En concurrence ? Non. La technique ARNm ne concurrence pas, elle UTILISE un mécanisme connu depuis Monod – sans rien concurrencer !
      -3- Depuis 20 ou 30 ans on injecte obligatoirement un certain nombre de vaccins aux enfants (ROR, tétanos, etc.) à effets secondaires beaucoup + risqués, puisqu’on injecte la totalité des protéines – modifiées par atténuation certes, mais ça fait beaucoup plus d’allergènes potentiels que le transfert d’information par une courte séquence d’ARN.
      je ne suis pas capable de comprendre en détails le mécanisme de la fission atomique. Pourtant j’utilise l’électricité fournie par elle. Parce que je fais CONFIANCE aux ingénieurs.
      M.B.

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      1. Gris

        1. il est évident qu’aucun vaccin n’est efficace à 100%, c’est pourquoi je m’étonnes de votre solution mondiale et, par ailleurs, la microbiologie nous enseigne que la résistance des bactéries et virus peut détourner les systèmes de destruction les plus létaux comme l’appertisation ou les rayons dans les colloïdes pour exemple bactérien.
        2. La concurrence s’applique dans les résidus cellulaires dans le cytoplasme qui entraine une élimination ou réutilisation des acides aminés (cf. pseudouridile de la cellule et ceux apportés par l’injection du sérum – voir mon précédent commentaire).

        Faire confiance sur le nucléaire est un très bon exemple car les choix furent politique entre le nucléaire uranium et l’autre filière au thorium étudiée à l’époque ; le choix français (et autres puissances nucléaires militaires) pencha pour l’uranium pouvant servir à l’armée. La technologie uranium est à plus haut risque.
        Donc, si je vous comprends, on prend le risque d’évaluation des effets secondaires méconnus contre le temps de prendre des vaccins classique sous prétexte d’urgence dans une maladie dont on méconnait la mortalité et la létalité. Il apparait que l’urgence fut grandement la cause d’un déclin de la capacité de soins dans nos hôpitaux et on oublie un peu rapidement le double fait de n’avoir pas solliciter les cliniques privées (ou si peu) et d’avoir interdit aux médecins de soigner pour possiblement éviter cet afflux saisonnier.
        Pourquoi ne pas ouvrir la possibilité de vacciner avec des produits chinois ou d’autre lieux d’origines aux techniques « classique ? Comment expliquer la commande de 4,4 milliard de doses sur 3 ans des seuls produits ARN (qui porte à un potentiel de 10 doses par habitant de la communauté européenne, soit 3 par an) alors que l’on a toujours connus la variabilité des coronavirus ? Pfizer lui-même n’a-t-il pas dit qu’il pouvait répondre aux variants dans ses préparations : quid d’omicron ?
        Pourquoi ne pas renforcer les messages de la santé publique sur la possibilité de renforcer notre système immunitaire que tous les spécialistes connaissent et même les médecins généralistes (la liste est longue), au lieu de créer un mouvement anxiogène appuyé à l’unisson dans tous les médias quand on sait les effets néfastes psychosomatiques et l’abaissement des seuils de défense.
        Moult questions en suspend que je n’énumère pas qui font que la confiance ne peut être un acquiescement aveugle sous prétexte de sauver la vie des autres. Nos dirigeants n’avaient pas peur de faire de la chair à canon en 14-18. Les guerres sont déclenchées sous des prétextes parfois bien étranges. Nous sommes en guerre a dit notre président. Peut-on se fier à sa parole quand il ose prononcer que certains ne sont rien ? C’est tout dire ! Pensez-vous que ces élites d’autrefois ont changé sur la manière de voir les masses humaines ?
        Permettez moi d’en douter et de me réserver un libre arbitre qui serait une irresponsabilité pour notre gouvernement et, allons, en couard que je pourrais être désigné (puisque pas (mal)traité), je m’abrite derrière la loi :
        L’article 16 du Code civil dispose que « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie ». L’article 16-1 affirme de manière très claire que « chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable ».
        Il semble maintenant évident que l’inviolabilité est « emmerdante » pour le président des français.

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        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          Je vous autorise à en douter.
          Et vais déposer lundi ma candidature à l’élection présidentielle.
          Enfin, la perfection sera au sommet de l’État.
          C’est si rare !
          M.B.

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            1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              TOTALITARISME ? J’aimerais que vous viviez 1 semaine en pays totalitaire (j’y ai passé des mois). Vous pleureriez après la France, l’un des pays les + libres du monde.
              Attention aux gros mots
              M.B.

            2. Gris

              Il me semble que vous n’avez pas lu le lien qui définit un totalitarisme. Et celui-ci est en marche. Entre le despotisme, la dictature établie et celle qui se construit alors attention à la …marche !
              Ne supposez pas que je n’ai pas voyagé pendant 45 ans de majorité, c’est pourquoi je défend non seulement la France mais l’esprit français qui parle à travers sa culture.
              Mon père a 97 ans et vit au Maroc depuis une quinzaine d’année, impossible de le voir pour les fêtes de Noël et nouvel An qui correspond aussi à son anniversaire. J’ai traversé bien des pays où des maladies sont dangereuses comme la malaria, la trypanosomiase ou même encore des lieux ou la lèpre sévit encore et aussi dans des dictatures reconnues, j’ai circulé et j’en suis revenu, dans tous les sens du terme.

            3. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              Vous en êtes revenu (comme moi) ? Bienvenu dans un pays (encore) libre.
              M.B.

  3. Pascal JACQUOT

    La vie est courte.
    Trop courte pour négliger l’essentiel !
    Tout en étant convaincus de ne pas « posséder La vérité », nous attendons que nos « convictions » méritent respect. Et, à condition bien sûr qu’elles ne nuisent pas aux autres, la liberté de vivre ce qui nous tient à cœur doit nous être permise parce que c’est notre véritable richesse …
    Or j’ai actuellement la certitude que la crise sociale et sanitaire que nous traversons trahit des valeurs de notre société. Non pas une banale erreur réparable mais une lourde méprise, semblable à la justification, en d’autres temps, de l’esclavage, du racisme ou de l’inquisition ! …

    S vous souhaitez découvrir la suite, il suffit de découvrir la page complète dans :
    https://www.ecoutetpartage.fr/grainsdevie.htm#Trop_courte
    Merci de me lire jusqu’au bout !

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      J’ai lu « jusqu’au bout ».
      Oui, mais quand on est pris dans une guerre mondiale, la solidarité collective l’emporte sur la liberté individuelle.
      Pendant la dernière guerre & Occupation, il y a eu des gens qui pensaient A EUX d’abord, et d’autre qui ont pris des risques pour la collectivité.
      La différence, c’est que le risque vaccinal avec les vaccins dont nous disposons aujourd’hui est extrêmement faible. Bien plus faible qu’avec le vaccin polio par exemple
      Amitié, M.B.

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  4. MINMEISTER

    Une vie à la recherche de la liberté intérieure, morale et politique , c’est votre credo n’est ce pas ?
    Je ne pense pas que vous ayez pas le monopole de cette démarche ?

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Of course not ! Mais c’est un plaisir (et un devoir) de la partager.
      P.S. : nous sommes tous « in via », en route comme disaient le Pères de l’Église. Un credo c’est l’horizon. Moi je suis sur les flots ballottés.
      merci, M.B.

      Répondre
    2. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      of course not ! Mais c’est un plaisir (et un devoir) de la partager.
      un Credo, c’est un horizon vers lequel… Nous sommes encore sur les flots ballottés.
      Merci, M.B.

      Répondre
  5. Pierre

    Je me permets de revenir dans les échanges :
    Vous écrivez que 70% à 80% des lits de réanimation sont occupés par les non-vaccinés, chiffre provenant des infos gouvernementales. Or le Premier ministre britannique Boris Johnson a publié ce jour, 6 janvier 2022, des statistiques sur les hospitalisations liées au COVID où il admet que 90 % des patients des unités de soins intensifs sont doublement vaccinés. Qui a raison ?
    « Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il est malade ». Sachant que le chef de l’Etat français a « bien envie d’emmerder les non-vaccinés », il ne serait pas surprenant que les chiffres officiels français soient totalement faussés pour asseoir la stratégie politique actuelle du tout vaccin.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      1- Vous savez j’espère que Boris Johnson est un menteur professionnel (cf campagne Brexit)
      2- Le chiffre de 70 (ou 75) à 80% est donné, depuis des mois, non seulement par les « officiels » (APHP) mais par une quantité d’intervenants de terrain telle qu’on ne peut le mettre ne doute.
      M.B.

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  6. elizabeth

    Issou comme on dit sur les réseaux antisociaux.
    Là je crois qu’on touche le fond. Inexactitudes, mensonges, de aleph à tav.
    Ca me rappelle l’article sur le diable et son tissu de mensonges, alors comme ça on est tout fier de ne pas participer, de ne pas collaborer à l’égarement des âmes ? Mais la honte, quoi.
    Ce n’est pas un vaccin, point final.
    Moderna, Pfizer and co attaqués pour crimes contre l’humanité et terrorisme sur les peuples, entres autres.
    Reiner Fuellmich, que vous ne connaissez sans doute pas, prépare aussi un procès contre les responsables, avec les mêmes accusations. Allez traiter cet avocat d’ignare et d’égoïste, qu’on rigole.
    Allez dire aux parents qui ont perdu des gosses, entre 6 et 22 ans que c’est responsable de se faire injecter une merde pareille. Ah ouais c’est vrai, ces ignorants ne comprennent rien. ‘Ils mélangent tout ».
    Quelle suffisance, quelle imbécilité abyssale. Ridicule tartuffe.
    Mais allez donc vous prendre votre dose tous les 3 jours et foutez nous la paix. Toutes les 3heures si ça vous chante.

    Mais quelle fierté pour ceux que vous adorez appeler ANTI, parce que vous êtes incapables de la moindre nuance et surtout de la moindre honnêteté, d’être rejetés, insultés, par des gens comme vous, tellement trouillards et hypocrites, des tocards vivant pour leur banquier et plus jamais pour leur prochain, mais qui la ramènent avec des leçons minables d’humanisme de tévé.
    Toujours pas vax, jamais été malade depuis 2 ans, bien que porteuse de crabe et malheureusement toujours vivante pour lire de telles offenses à l’intellect et à l’humanité.
    Rassurez vous boomers de merde, je ne sollicite ni votre médecine de putes, ni vos services mortuaires, j’ai creusé déjà mon trou, hors de ce territoire plein de corruption, et vos petits impôts que vous vous targuez de payer, vous continuerez à les refiler à l’UE, à micron et sa mafia, vous pourrez continuer à leur payer le coiffeur, leurs bagnoles, leurs jets, leurs putes trans, et leur coke.
    Continuez, les piquouzés, à force d’écoeurer vos semblables par votre connerie crasse, vous finirez bien par en pousser quelques-uns au suicide. Ca vous fera de la place, paraît qu’on en manque, ils l’ont dit à BFMerde, votre dieu, vos prêtres, votre source de pisse éternelle, c’est que ça doit être vrai.
    Je quitte ce blog de taré, et je vous dis pas adieu, car d’après des gens comme vous, pour moi, c’est l’enfer direct. Avec plaisir, car les petits saints éco-responsables-bons citoyens de mes couilles, je peux vraiment plus les voir en peinture. Si encore on pouvait vivre sans se mélanger à eux, ce serait génial, mais ces enfoirés refusent, ils nous traqueront jusque sur les montagnes. Pour nous convertir de force à leur délire de psychopathes. Tiens ça me rappelle certains prêtres, qui aimaient bien rendre corban des trucs, pour pas les donner, qui tordaient la loi uniquement à leur profit, et terrorisaient les plus humbles, ceux qui ne faisaient pas partie de leur secte de voleurs et d’assassins. Vous ne nous foutrez jamais la paix, à vivre entre vous dans votre monde de cinglés, et nous laisser entre nous, à nous voir réussir là où vous échouerez, inévitablement.
    Il vous faut tout détruire. Car vous savez pertinemment ce qu’au fond, vous êtes, et vous ne le supportez pas.
    La bonne nouvelle, c’est qu’après nous avoir détruits, quand vous aurez pillé aussi nos témoignages, nos mémoires, pour les réécrire à votre sauce goût moisi, les dégueulasser comme depuis plus de 2000 ans, vous vous détruirez entre vous. Pour une fois, je paierai ma place pour voir ça. J’ai hâte.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Chère madame,
      C’est une bonne idée que vous avez de ne plus intervenir sur ce blog. Parce que encore une ou deux interventions de ce genre, et je vais être détruit, atomisé, dispersé façon puzzle. Mais au passage, mon vocabulaire d’insultes se serait enrichi. L’ennui, c’est que je ne m’en servirai pas car dans ce blog, on ne s’insulte pas, on échange (surtout si on n’est pas d’accord).
      M.B.

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  7. JEAN FRANCOIS LECOCQ

    Mais que vous arrive-t-il Michel BENOIT ?

    Bonjour Monsieur BENOIT,
    de votre part, je m’attendais à une analyse plus fine sur le plan psychologique et plus « scientifique » sur le plan médical ; votre article prend clairement position pour le vaccin au prix d’amalgames douteux, mais pourquoi chacun devrait être de votre avis ? C’est avant tout nos gouvernants qui distillent la peur et qui aujourd’hui masquent leur incompétence et leur gestion catastrophique de la crise en choisissant un bouc-émissaire. On est loin du consensus médical ( mais les médias mainstream sont là pour nous dire comment « bien penser » ) et les chiffres de contamination prouvent l’échec du tout-vaccinal. Le vaccin est sans doute bénéfique à certains mais pour ma part je reste farouchement anti-passe.
    Puisque vous faite allusion à la dernière guerre+, j’aime à me rappeler que face à la démission et à la soumission collective, il y a eu une poignée de résistants !

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Merci. Mais refuser de se protéger contre l’ennemi en temps de guerre, est-ce « résister » ? Résister contre qui ?
      ce que vous dites des « distillateurs de peur » (médias et gouvernement), je suis le premier à le dénoncer. mais comment obtenir de certains qu’ils protègent les autres en se protégeant eux-mêmes ?
      Comme vous j’en ai plein le dos de ces polémiques. Hélas, en ce moment on ne peut pas s’y soustraire.
      M.B.

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  8. Gris

    Bonjour, en effet les désunions sociales sont graves mais à qui sont-elles imputables ? Telle est la question de la relation entre la cause et l’effet (nombre de malades/effectifs de soins).
    Je ne me doutais pas que des Toubiana, Péronne, Raoult, Caumes, pour ne citer que des français, avaient un discours qui les range parmi les anti-sociaux. N’entend-on pas directement de leur bouche des questionnement sur l’efficacité des vaccinations ARN sur le plan opérationnel des nombreux variants qui émergent et sur la stratégie de les appliquer en pleine épidémie ? Ceci semble raisonnable à mon oreille.
    Il y a d’autres types de vaccins dit classique. Il y a des possibilités de traiter un/e Covid (voir l’ensemble des pays hors OCDE). Bref, la santé n’est pas que le contraire de la maladie, c’est un tout physico-psychique et vous qui proposez tant de lumières dans la réflexion spirituelle êtes également bien au courant de cet apport dans l’immunité chez un être humain.
    Je m’étonnes donc de voir aborder cette question de liberté d’une façon si trivial et qui exclu la nuance par l’observation de la balance bénéfice-risque propre à ce genre de « guerre » des microbes ! La santé publique ne s’oppose pas à la liberté individuelle qui se décline dans un individualisme simpliste de la volonté de « faire ce que je veux », désignant par cette ritournelle l’immaturité d’un égoïste, mais bien dans la considération du libre arbitre de chaque homme, qui le différencie de l’animal (dont par conditionnement du premier pouvoir médiatique on voudrait l’enfermer), donc de chaque être humain qui se réfère en son âme et conscience (pour reprendre l’expression qui a (avait ?) un sens) à l’arbitrage d’un savoir acquis et le poids d’un ressenti d’une dimension religieuse (au sens religare) où l’esprit de vérité souffle et imprègne cette âme, malheureusement oubliée par une grande majorité de la communauté humaine, et qui le rend responsable !
    SVP ou de grâce si j’ose :-) , ne confondons pas la liberté, concept d’ordre philosophique au mieux, avec le libre arbitre qui déclare et définit la singularité et la différence , tant dans la chair que l’esprit des hommes évoluant au sein des civilisations … qui disparaissent par manquement de cette variable intrinsèque.

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    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Hélas, la trivialité est quasi-inévitable en ce moment ! Une pandémie virale mondiale et mortelle touche des gens qui ne sont pas armés pour comprendre le fonctionnement des différents types de vaccins. Ils se braquent d’autant plus violemment qu’ils croient qu’on les manipule. C’est une guerre des sachants contre les non-sachants qui croient savoir…
      Y a-t-il une « spiritualité » qui soit hors d’atteinte des problèmes que les humains rencontrent ? Jésus s’est montré très proche de ce que vivaient ses contemporains. Pas d’esprit hors de la chair. Amicalement
      M.B.

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      1. Gris

        Je ne commenterai pas l’esprit et la chair.
        Vous dites : « C’est une guerre des sachants contre les non-sachants qui croient savoir… »
        Par contre j’ai des doutes sur mes savoirs car je ne connais pas l’influence des résidus de la pseudouridine utilisée dans les vaccins ARN. Pour mieux comprendre le fonctionnement il y a ce site très pédagogique : https://www.pedagogie.ac-nice.fr/svt/?p=2967
        Et puis pour aller au plus simple et au plus court, prenons wikipédia sur le chapître « Utilisation diagnostique » :
        « Le dosage du taux de pseudouridine dans l’urine est utilisé comme élément diagnostique pour le dépistage d’un certain nombre de pathologies, en particulier les cancers. Le métabolisme transcriptionnel est en effet augmenté dans les tumeurs malignes et donne lieu à une production accrue de pseudouridine, lors de la dégradation des ARN. La pseudouridine, résistante en raison de sa liaison glycosidique C-C, est éliminée dans les urines. »
        Alors quand certains chercheurs me parlent de symptômes cancéreux développés après vaccination de type, je me pose la question de savoir comment est éliminé le surplus de pseudouridine ? Quelles interférences dans la cellule avant élimination dans la cellule sachant que les ARNt et ARNr se retrouvent avec des déséquilibres en uridines/pseudourifines ?
        A-t-on fait des études en ce sens dans la précipitation de laboratoire dont l’objectif financier est évident et colossal et dans une éthique qui laisse à désirer quand on connait les milliards de dollars d’amende de multiples affaires sur une dizaine d’années pour la seule entreprise Pfizer?
        Je ne prétends pas être sachant alors je me pose des questions et dans le doute, les doutes, je m’abstiens – libre choix d’être contaminé – et quant à la transmission les études en phase 2 n’ont pas inclues la transmission ou portance : la liberté vis-à-vis des autres a été négligée par les fabricants et nos dirigeants.

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  9. Jojo

    Vos souvenirs familiaux de la guerre sont un peu étranges. Certes, elle a été déclarée en 39, quand l’Allemagne a attaqué la Pologne, mais en France les deux armées se faisaient face sans s’affronter. C’est ce qu’on (Dorgelès) a appelé la drôle de guerre. L’attaque allemande ne s’est produite qu’en mai 40, et non au retour des vacances, et l’exode a été bref, et immédiatement suivi de l’occupation.
    Ce que vous dites du vaccin est aussi mal informé. Vous reprenez un sophisme : 10% de la population n’est pas vaccinée et la maladie ne s’arrête pas, ce sont donc ces 10% qui contaminent tous les autres. C’est ridicule, toutes les autorités sanitaires ont reconnu que le vaccin n’empêchait ni d’attraper la maladie ni de la transmettre. Rien que dans mon entourage élargi j’en connais de nombreux cas. Vaccinés contaminés et transmettant la maladie. L’imputation de la contamination aux seuls non vaccinés est donc, très officiellement, un mensonge. Tout le monde le sait, et c’est même la raison pour laquelle les mesures préventives sont aussi demandées aux vaccinés. Vous vous moquez des ignorants qui ne connaissent pas la différence entre ADN et ARN. Il y a quelques mois, Raoult ironisait sur un membre du conseil scientifique qui sortait ce même argument, en lui disant que la biologie avait bien évolué depuis Monod, et qu’il avait cinquante ans de retard. Sur cette question, vous pouvez consulter les vidéos de Christian Vélot, qui enseigne la microbiologie à l’université de Paris Orsay, et qui évoque les rétro processus de l’ARN à l’ADN. Vous nous traitez d’incompétents, incapables de lire une carte ou de comprendre une statistique. Avez-vous vu les cartes de l’Afrique, avec les régions frappées par le paludisme et l’onchocercose, et les cartes des victimes du COVID? Elles concordent. Ce sont les mêmes régions qui sont frappées par ces deux fléaux et qui ont échappé à l’épidémie, ce qui contraste nettement avec le nord et le sud du continent. Alors pourquoi? Tout simplement parce que les régions à paludisme prennent de l’hydroxychloroquine, et les autres, de l’ivermectine. Quand la France avait 1500 morts par million d’habitants, le Sénégal, qui applique le protocole Raoult, en avait 66 (et le Bangladesh 9). Il suffit de regarder les cartes et les chiffres. Le variant indien, que nous appelons delta, a exercé des ravages en Occident. Et en Inde (que vous connaissez bien)? Là encore, il faut regarder les chiffres et les cartes. Chaque état a sa politique de santé, et celui qui s’en est le mieux tiré est l’Utah Pradesh, qui soigne systématiquement par l’ivermectine, et qui a enrayé la maladie, ce qui n’est pas le cas des états qui vaccinent. Au Mexique, l’État le plus pauvre, le Chiapas, n’intéressait pas les laboratoires, il a choisi l’ivermectine. Et le résultat a conduit tout le pays à suivre (et à arrêter l’épidémie). L’Italie a validé l’HCQ sur une base très simple : sachant qu’elle est donnée en soin chronique pour des maladies auto-immunes, comme le lupus et la polyarthrite rhumatoïde, on a fait la liste de tous les malades qui en prenaient comme traitement régulier. Et on s’est aperçu qu’il n’y avait ni morts ni cas graves, et nettement moins de contaminations que dans la population générale. Les preuve de l’efficacité des traitements sont massives, et tous ces chiffres et toutes ces cartes sont accessibles et fondés sur des statistiques officielles. Enfin, considérer que des Prof. comme Raoult, le meilleur infectiologue français, Perronne, ou Toubiana sont des chariots, est tout simplement indigne. Enfin, l’argument de la saturation est inacceptable. D’abord on sait officiellement que le COVID n’a occupé que 2% des lits d’hôpital. Ensuite de nombreux retours du terrain hospitalier (j’en avais encore un aujourd’hui) disent qu’il y a beaucoup plus le malades de grippe ou de bronchiolite que de COVID dans les hôpitaux. Et les effets secondaires? J’en entends beaucoup dans mon entourage élargi (thrombose, sclérose en plaque…) chez des gens jeunes (de 28 à 46 ans). Que faites-vous des treize Kreutzfeldt Jakob? Et Guillain-Barré? Savez-vous au moins ce que c’est? Il y a des malades qui, une fois guéris, se suicident de peur que ça recommence. Être enfermé dans son corps doit être absolument atroce. J’ai eu un ami qui communiquait uniquement par un mouvement de paupière, et dont la mère avait fabriqué un alphabet dont elle lui montrait les lettres une à une pour qu’il puisse s’exprimer… Quant à la question du choix des malades, elle n’a tout simplement pas de sens dans un pays où on peut à la fois crier à l’épidémie et continuer à supprimer des lits. L’allusion à la responsabilité des malades est insensée, d’abord du fait que la protection vaccinale est faible, et ensuite parce qu’on ouvre ainsi une belle boîte de Pandore. En ce qui me concerne, je la prends très mal. Je suis antivax, je fais entre vingt minutes et une demi-heure de yoga et de gymnastique tous les matins, 70 pompes tous les après-midi, et un peu de yoga le soir. Je n’ai jamais fumé, je ne bois pas, je ne mange ni viande ni charcuterie ni pâtisserie, je pèse 73 kilos pour 1,84m, et j’ai 74 ans. Toute ma vie j’ai payé pour des fumeurs, des alcooliques, des obèses et des gens qui n’avaient aucune hygiène de vie. Je ne vais pas demander un remboursement, c’est comme ça. Vous voulez que chacun paie pour son propre risque. C’est votre choix, et il aurait été excellent pour moi, mais je reste circonspect.

    Répondre
    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      -1- Vous avez lu « contamination » quand j’ai écrit « réanimation ». Aucun vaccin n’empêche d’être contaminé en période d’épidémie. Mais il empêche de mourir !
      -2- La vaccination de masse repose sur le rapport bénéfice/risque. Je connais UN type que le vaccin polio a paralysé des 2 jambes. Mais ce même vaccin a sauvé des millions d’enfants ! Comme nous n’avons pas les moyens de faire nous-mêmes des statistiques nationales et mondiales, il faut bien se fier aux chiffres officiels. En a-t-on d’autres ?
      Voyez comme « ce qui nous arrive » soulève les passions. J’ai pris le risque d’en parler. Pour ne pas être critiqué, il faut se taire.
      Bon courage, M.B.

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      1. Jojo

        D’abord, dire que le vaccin empêche de mourir est factuellement faux. Ensuite, le véritable scandale que masquent les polémiques sur le vaccin, est l’interdiction des traitements dont on sait très bien qu’ils sont efficaces, parce qu’ils ont partout fait leurs preuves, y compris dans des pays de 100 ou 200 millions d’habitants. Perronne a été très clair, et surtout définitif, sur ce point; il en avait, d’ailleurs, fait l’expérience à Garches, malgré son hostilité envers Raoult (à cause de Lyme).

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        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          Tout vaccin empêche les formes graves & mortelles. On mourait en masse de tuberculose, variole, etc., avant la vaccination.
          l' »Affaire Raoult » est obscure, mais je soupçonne l’Ordre des médecins de s’être comporté envers Raoult de façon indigne. Les Mandarins !
          M.B.

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  10. Paul Kerlois

    Oui, Michel, nous sommes nombreux à être sidérés par cet égocentrisme prônant une soit disant liberté individuelle des non-vaccinés. Vous faites bien de rappeler que l’interdiction de la conduite en état d’ivresse est certes une restriction de la liberté individuelle… mais que c’est surtout l’interdiction de tuer des innocents.
    Et sans exagérer, c’est un peu le cas aujourd’hui par l’encombrement des lits de réanimation des hôpitaux.

    Mais si j’ajoute ce commentaire, c’est parce qu’autours de moi, ce sont plutôt des « bons croyants » qui s’opposent au vaccins.
    Ce que j’ai compris de leur argumentation, c’est que l’ARN messager intervient dans nos corps, œuvre intouchable de Dieu… Et malgré la pandémie, malgré les morts, malgré les difficultés de rencontres familiales, ils préfèrent suivre leur propre croyance.

    Ces positions sont assez bien résumées sur le site : https://www.reformes.ch
    « Anti-vaccins-quels-fondements-religieux-derriere-cette-mefiance-vaccin-coronavirus »

    «Il y a chez certains l’idée de quelque chose de diabolique dans la science en général et dans les vaccins en particulier, ceux-ci étant perçus comme une intrusion malsaine dans l’organisme humain de quelque chose qui n’a pas été voulu par Dieu», formule à son tour l’éthicien protestant Denis Müller. C’est le mythe faustien: «En gros, dans ces mauvaises théologies, si on choisit la sagesse des vaccinologues, on s’oppose à la volonté divine. Donc, on doit choisir. Si on est vraiment religieux, on refuse le vaccin pour montrer qu’on est croyant.»

    Pour ces franges minoritaires, «la maladie est comprise, collectivement, comme une punition et, individuellement, comme une épreuve», explicite alors l’historien Laurent-Henri Vignaud. «Chez certains catholiques, on s’inquiète par exemple des vaccinations contre les maladies sexuellement transmissibles (type hépatite B ou papillomavirus) qui seraient des « passeports pour la débauche » offerts aux adolescents hors mariage.»

    Utilisation de fœtus avortés?
    Au-delà de ces réticences de principe, s’ajoutent des résistances liées aux processus mêmes de fabrication des vaccins. En ligne de mire, le recours dans certains cas à des «cellules fœtales» lors des travaux de recherche et de mise au point des traitements – une pratique fortement décriée dans certains milieux, car jugée totalement immorale.

    Plus précisément, il s’agit plus justement de «lignées cellulaires», comme le documente l’Institut européen de bioéthique, «reproduites en laboratoires depuis des décennies», à partir de cellules souches de fœtus avortés dans les années 1960, 1970 et 1980. C’est le cas aujourd’hui des groupes AstraZeneca, Moderna et Pfizer, comme d’autres, qui ont utilisé ce procédé au cours de l’élaboration de leurs vaccins contre le Covid-19. Y aurait-il dès lors matière à s’en scandaliser?

    «Les tissus fœtaux ont également été utilisés dans le développement des vaccins contre la rougeole, la rubéole et de nombreux autres virus – des traitements qui vont aujourd’hui de soi – comme dans de nombreux médicaments très efficaces, en particulier les thérapies contre le cancer», rappelle Frank Mathwig, chargé des questions théologiques et éthiques au sein de l’Église évangélique réformée de Suisse (EERS). Selon lui, «refuser la vaccination sur la base de sa production est éthiquement déraisonnable, contradictoire et à courte vue: comment justifier le fait d’accorder une plus grande importance aux fœtus qu’à la vie des personnes qui, sans vaccination, peuvent mourir ou tomber gravement malades avec des conséquences imprévisibles sur le long terme?» Car l’éthicien réformé le rappelle, «la vaccination protège non seulement sa propre vie, mais aussi celle de toutes les personnes exclues de la vaccination (comme les femmes enceintes, les personnes atteintes de maladies auto-immunes, de certaines allergies ou handicaps) et qui ne peuvent donc être protégées qu’indirectement.»

    Du côté catholique, face aux inquiétudes d’une partie de ses fidèles, le pape lui-même a tenu à rassurer son audience, en publiant, dès le 21 décembre, une note sur «la moralité de l’usage de certains vaccins anti-Covid-19». Le souverain pontife y enjoint les fidèles à se faire vacciner contre le Covid-19, affirmant que tous les vaccins développés étaient «moralement acceptables», y compris ceux produits à partir de cellules fœtales.

    Le Conseil de l’Église évangélique réformée de Suisse planche également sur un tel document. «Les réformés mettront l’accent sur le devoir de solidarité et le devoir de responsabilité envers le bien-être des plus faibles et sans défense», expose Frank Mathwig, rappelant l’exemple du réformateur Ulrich Zwingli: «Lorsque la peste a éclaté à Zurich et alors qu’il se trouvait hors de la ville, Zwingli est immédiatement revenu pour aider sa congrégation et les citoyens, malgré les risques encourus. Il a d’ailleurs survécu de justesse à l’infection.»

    Vaccins casher ou halal?
    De leurs côtés, les communautés juives et musulmanes se sont inquiétées de la présence de gélatine de porc dans les produits utilisés pour stabiliser les vaccins contre le Covid. Les porte-paroles des sociétés pharmaceutiques Pfizer, AstraZeneca et Moderna ont alors confirmé à l’Associated Press , juste avant Noël, que les nouveaux vaccins ne contiennent pas de produits à base de porc et sont donc «casher» et «halal»….

    Répondre
    1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Merci de votre contribution et des références que vous apportez. Le rejet des vaccins est ancien. Parfois pour des raisons religieuses (Témoins de Jéhovah). Mais le plus souvent, par ignorance. Il ne suffit pas de consulter des sites + ou – « pédagogiques ». Pour les comprendre il faut une culture scientifique qui manque cruellement aux Français. Alors ils mélangent tout et la passion finit par l’emporter.
      Dans ce blog, j’ai écrit depuis 2 ans 12 articles sur le coronavirus, en essayant d’être simple sans être trivial. C’est se battre contre des moulins à vent.
      Amicalement, M.B.

      Répondre
  11. Pierre

    Dommage que vous aussi vous vous laissiez prendre au piège des chiffres annoncés par le gouvernement. Si vous connaissez des soignants en hôpitaux, posez-leur la question. De ce que je connais, la réalité est bien différente du discours gouvernemental, à savoir que les vaccinés sont majoritaires dans les soins covid et non l’inverse.
    Quant à la liberté de ne pas se faire vacciner, permettez que j’émette des réserves sur un vaccin en phase expérimentale (Pfizer l’a rappelé récemment) dont on ne connait pas les conséquences à 5, 10 ou 15 ans par exemple, en particulier sur les enfants. Quand je lis la longue liste des condamnations de Pfizer aux Etats-Unis depuis une vingtaine d’années, j’ai du mal à croire que cette entreprise soit devenue d’une sincérité absolue dans son argumentaire vaccinal actuel.
    Personnellement, le simple fait que depuis le début de cette histoire le gouvernement ait fait l’impasse sur les soins précoces qu’auraient pu assurer les médecins généralistes me laisse songeur. Si vraiment le covid était aussi grave que ça (et il l’a été hélas pour nombre de personnes qui en sont décédées) le bon sens aurait voulu qu’on cherche dans toutes les directions les traitements possibles. Au contraire, le gouvernement a décrété que seul un vaccin pourrait nous sortir de là. Résultat après un an de vaccination : les vaccinés attrapent le covid et le transmettent tout autant (sinon plus) que les non-vaccinés. Comme disait Chirac : les promesses n’engagent que ceux qui les croient !
    Cordialement.

    Répondre
    1. Jérôme

      Tout à fait d’accord. Il est un fait que le ministère de la santé ne précise pas dans son bilan journalier de décès combien parmi les personnes décédées étaient vaccinées. Cette donnée n est pas divulguée, pourquoi? Pour éviter une déconvenue aux tenants de la vaccination à tout va? Quant à la soi disant efficacité du vaccin Pfizer, il s’avère qu’elle dure environ 4 mois alors pourtant que le fabricant nous promettait une protection durable. Sa publicité était mensongère. Il faudrait pour le moins que Pfizer offre à prix coûtant les doses 3, 4 etcetera.

      Répondre
      1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

        La durée de protection d’un vaccin ne peut être connue qu’une fois qu’il est mis en circulation. Pfizer espérait sans doute une durée longue : à l’usage, elle s’est révélée assez courte. Ce n’était pas un mensonge !
        M.B.

        Répondre
    2. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

      Nous connaissons tous des soignants, des voisins, des cas. Mais en épidémiologie, on se base sur des chiffres nationaux (ou mondiaux). Avons-nous d’autres chiffres que ceux des « officiels », APHP ou gouvernement ? Non. Il faut bien se baser sur ces chiffres. Les mettre en doute systématiquement, c’est ce qu’on appelle du « complotisme » : il y aurait un complot des officiels pour tromper la population. Ceux qui nous trompent sont ces complotistes.
      Le vaccin Pfizer a été mis en circulation avant la conclusion de la troisième phase du protocole d’expérimentation. Depuis, des centaines de millions de vaccins Pfizer ont été administrés. Ce n’est plus un vaccin expérimental !
      Aucun vaccin n’empêche d’être contaminé. Il empêche de mourir. Et il entrave la circulation du virus, mais à condition que tout le monde soit vacciné. Aucun gouvernement n’est tenu pour responsable si 10% de la population refuse de se protéger en protégeant les autres !
      M.B.

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      1. Gris

        Pour résumer, votre proposition seraient de vacciner 100% des gens (qui se limiterait aux frontières je suppose ou la population mondiale ?) pour éviter une circulation et vous affirmer que les vaccins ARN empêchent de mourir ?
        Pour le 2ème point voir Raoult sur l’effet des soins qui empêchent les formes graves en proportion des sauvetages par vaccination en rappelant la moyenne d’âge des gens qui décèdent et leur allongement d’espérance de vie. Ce rapport efficacité vaccin/soins est à prendre en compte dans une crise épidémiologique surtout dans l’urgence …
        Pour le premier aspect qui dit que vacciner doit empêcher les morts (ce que tout le monde en convient) y a-t-il donc eu surmortalité par le Covid et les différents variants ? Vous aimez la science et les statistiques sont des outils indispensables (surtout en biologie pour déterminer si corrélations il y a ou non par test appropriés). J’invite les curieux à visionner ou lire les analyses de ce professionnel des stats mais ignorant au départ des maladies infectieuses. J’aime beaucoup cette approche « naïve » car elle évite des présupposés dans un syllogisme où une des prémisses est tenue pour fondamentale…donc vraie à priori !
        Ce « p’tit gars » fait une démarche qui l’amène à remettre en question la propagation par diffusion d’une maladie contagieuse par une analyse fines des données officielles (chiffres bruts) mais aussi incrémentés de facteurs parallèles (augmentation de la population par tranches d’âges par exemple), qui remettent en cause la surmortalité même qu’occasionne le Covid, donc sa dangerosité par rapport à une autre maladie (la grippe par exemple). Question non complotiste mais due à une démarche scientifique (voir partie 2/3 des vidéos): la propagation du virus est-il vraiment par diffusion et dans ce cas quel crédit apporter aux modèles de prévisions nous annonçant des centaines de milliers de mort, qui conditionnent les directives des responsables et la frayeur du peuple !
        https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/pierre-lecot-itineraire-dune-demarche-de-questionnement
        https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/pierre-lecot-2-mortalite-hivernale
        https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/pierre-lecot-3-histoire-du-covid
        C’est long mais c’est bon car cette analyse ouvre une voie sur un autre type de propagation, plus quantique celle-ci : l’approche énergétique qui fait la part entre particule et onde, autrement dit la physique quantique. Alors si on pousse plus loin le concept d’intrication quantique et les travaux du dit « gâteux » Montagnier reprenant ceux de Benveniste tout aussi sulfureux sur la mémoire de l’eau alors je me plais à penser qu’il y a encore de beaux pour la vraie science qui se remet en cause par précision de mesures et réflexion de méthodes :-)
        Et comme FranceSoir est tout aussi sulfureux on va me traiter de populiste parano lol

        Répondre
        1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

          1- Ce n’est pas « ma proposition », c’est le bon sens. Dans le cas d’une pandémie MONDIALE gravissime, si on dispose de vaccins, l’idéal serait de vacciner 7 milliards de personnes. Ce serait la seule façon d’y mettre fin.
          2- Y a-t-il eu surmortalité due au Corona ? Le dossier que vous apportez (merci !) montre qu’il est difficile d’affirmer.
          3- Les « prévisionnistes » ? ATTENTION, ce sont des gens dangereux. Leurs « prévisions » sont souvent téléguidées par l’establishment politico-médiatique. Et quand elle sont indépendantes, elles se sont jusqu’ici révélées fausses !
          Dans ce blog, on ne se « traite » pas. On échange pour apprendre.
          Merci, M.B.

          Répondre
          1. Jean Dupont

            1- Ce n’est pas « ma proposition », c’est le bon sens. Dans le cas d’une pandémie MONDIALE gravissime, si on dispose de vaccins, l’idéal serait de vacciner 7 milliards de personnes. Ce serait la seule façon d’y mettre fin.

            A condition que le vaccin fonctionne
            https://twitter.com/LCI/status/1479915275826905096?s=20
            Et Israël a autant de décès vaccines qu’en 2020 ou il n’y en avait pas
            https://www.i24news.tv/fr/actu/coronavirus/1644166966-israel-aucun-signe-d-une-diminution-des-cas-graves-directeur-de-l-unite-coronavirus-d-hadassa

            2- Y a-t-il eu surmortalité due au Corona ? Le dossier que vous apportez (merci !) montre qu’il est difficile d’affirmer.
            Voila deux liens qui disent qu’il y a de + en + de morts que les années passées
            https://youtu.be/eDSBcpCtORo
            https://twitter.com/statsjamie/status/1480846469502582784?s=20

            Pour finir l’étude qui montre que l’adn du foie est modifier ! Donc impact possible très important pour les êtres humains. En anglais hélas, les américains étant beaucoup plus libre qu’en France pour publier des résultats.
            https://www.mdpi.com/1467-3045/44/3/73

            Je n’étais pas venu depuis longtemps sur votre blog. et je suis déçus de voir la position que vous tenez si fermement. Je pense que vous vous trompez, ce n’est pas un vaccin car il est en phase de test. Test qui se finiront a la fin de l’année 2022 ou 2023.

            J’ai lu le secret du treizième apôtre, j’ai adoré se livre !
            Je trouvais votre blog intéressant parque remettant l’homme au centre de ce qui est le plus important sur terre.

            Répondre
            1. Michelbenoît-mibe Auteur de l’article

              1- OUI, le vaccin ARNm fonctionne. Comme tous les vaccins, avec une marge d’échecs mais elle est faible (moins de 10 %).
              2- Surmortalité due au Covid : difficile à dire. Sans doute peu significative, et moins qu’une épidémie de grippe.
              3- Vous ne semblez pas savoir en quoi consistent les 3 phases-test des vaccins. La 3° et dernière phase est accomplie depuis longtemps (des centaines de millions de vaccinés) et avec succès.
              Méfiez-vous des sites que vous citez (et des autres). La plupart sont remplis de faux chiffres, ou de chiffres biaisés, ou mal interprétés. Les chiffres « officiels » sont encore les plus fiables.
              M.B.

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