Ouvrez la télé, écoutez la radio, lisez le FigaMonde : partout Le Mal est à l’œuvre, embusqué derrière les bons sentiments, poussé en avant par les ambitions, masqué derrière les mépris, gonflé par la greediness (1). Il s’enveloppe de souffrances, de pleurs et de sang comme les cocottes, autrefois, s’enroulaient dans des châles en soie pour paraître belles. Le monde gémit, il pleure – et lui, il rit.
Il rit aux éclats, tandis qu’éclate la souffrance de ceux qui n’ont rien et manquent, de ceux qui ont tout et veulent plus. De ceux qui ne savent pas et de ceux qui croient savoir. Lire la suite